J'ai vu
Au revoir, là-haut au cinéma.
Je n'ai pas vu
Couleurs de l'incendie qui sort le 9 novembre.
Mais j'ai déjà en mains la nouvelle édition en Livre de poche, agrémentée d'un cahier photos de quinze pages, chaque cliché étant légendé d'un extrait du roman. Cette version, à peine sortie de l'imprimerie (132 pages de moins que la première édition en format réduit), a emporté mon adhésion, ainsi que les premières pages, animées d'emblée par un souffle épique, qui je le sais, faiblit rarement chez
Pierre Lemaître.
Nous verrons si je verrai le film avant d'avoir terminé la lecture ou si j'attendrai l'épilogue avant de m'immerger dans le récit imagé. Quoiqu'il en soit, je n'ai jamais combiné lecture et cinéma simultanément.
Je vous renvoie aux critiques élogieuses d'une autre époque. Ayant pris l'oeuvre sur le tard, je me dispenserai d'en rajouter.
Un ajout du 15 novembre a sauté.
Je persiste et signe aujourd'hui. Verve, gouaille, ironie, humour, détails historiques signent un bon roman populaire, récit de vengeance étiré, déprimant à la longue, justifiant l'adage : la vengeance est un plat qui se mange chaud lapin.
Commenter  J’apprécie         1614