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Critique de Verdorie


Je suis revenue aujourd'hui (à 11h54, 36 secondes et 5 tomes, très exactement), de mon voyage sur Betelgeuse-6. Ouaouh, qu'elle planète ! Constituée en majeure partie de déserts arides, clivés par endroits de profonds canyons (nourris par des cours d'eau sous terrains) et à la végétation aussi luxuriante qu'etonnante. Bien sur, dans ces quasi jungles, il faut s'attendre à croiser un bestiaire varié, exotique et parfois dangereux...

J'étais avec Kim, la jeune femme à forte caractère, née sur Aldébaran. Elle venait d'obtenir son diplôme de biologiste sur Terre et vit désormais séparée de son amour de jeunesse, Marc.
Quand on lui a proposé une mission d'observation sur Betelgeuse, elle n'a pas tardé à accepter...

De longues années auparavant un vaisseau spatial y était arrivé, avec à son bord, 3000 colons...dont la Terre n'avait, depuis, plus de nouvelles.
Kim découvrira qu'un petit nombre d'hommes et femmes a survécu au désastre informatique qui a provoqué la mort de presque tous ces futurs et jeunes colonisateurs. Or, la petite communauté restante est divisé par des violents désaccords portant essentiellement sur une espèce native de Betelgeuse : les iums..."simples" animaux...ou des êtres doués d'intelligence ?
Comme l'ONU à stipulé qu'une planète ne peut être colonisé si les explorateurs y détectent une forme de vie intelligente, l'équipe de Kim et des représentants de chaque camp vont descendre la rivière...à la rencontre des iums.
Kim va également trouver sur son chemin aventureux, non seulement une créature qui a indubitablement un lien avec l'entité mystérieuse d'Aldébaran, mais aussi un... (Oh ! mais qu'est-ce que je raconte ; Kim m'a fait promettre de garder le silence sur cette rencontre et je ne suis pas une pipelette décervelée !)

De la même manière que dans la série Aldébaran, j'ai essayé de faire l'impasse sur les nombreuses possibles "amourettes" de Kim. Elle possède un charisme incroyable et est dotée d'un joli pair de roploplos ; les hommes tombent comme des mouches et Kim est obligé de les moucher à son tour.

Sinon, les problèmes d'une (mini-)société qui doit se reconstruire pour survivre sont bien posés et le message environnemental s'insère sans jobarderie dans l'ensemble.
Les dessins, semblables à ceux d'Aldébaran, peuvent donner sujet à discussion...quant à moi...je vais bientôt et avec plaisir (!) me laisser entraîner par eux...sur Antarès, dans la constellation du scorpion...
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