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Critique de Vexiana
Dans cette série des Mondes d'aldebaran, nous quittons Kim (pour mieux la retrouver?) et nous faisons la connaissance de nouveaux héros.
Terriens, ils sont partis pour coloniser Aldébaran mais la malchance en décide autrement et ils atterrissent sur une planète non encore identifiée.
Les rapports avec Aldébaran et la Mantrisse ne sont pas encore évoqués mais nul doute qu'ils ne vont pas tarder à apparaitre à grand renfort de créatures formidables et/ou de manifestations grandioses.
Bon, on change de personnages mais on retrouve tout de suite les ingrédients favoris de Léo : une jungle, un énorme potentiel en matière de bestiaire et une héroïne de caractère (aux courbes très généreuses et aux trop nombreuses dents...ah non, ça c'est tous les personnages en fait).
Le scénario peut encore nous réserver des surprises et le sous-titre anomalies quantiques est interpellant.
Mais si je salue le talent de créateur d'univers de Léo, je dois avouer que je n'ai jamais vraiment adhéré à son dessin qui est fort figé et d'une expressivité terriblement théâtrale. La mise en couleur est très moyenne également.
A suivre
Terriens, ils sont partis pour coloniser Aldébaran mais la malchance en décide autrement et ils atterrissent sur une planète non encore identifiée.
Les rapports avec Aldébaran et la Mantrisse ne sont pas encore évoqués mais nul doute qu'ils ne vont pas tarder à apparaitre à grand renfort de créatures formidables et/ou de manifestations grandioses.
Bon, on change de personnages mais on retrouve tout de suite les ingrédients favoris de Léo : une jungle, un énorme potentiel en matière de bestiaire et une héroïne de caractère (aux courbes très généreuses et aux trop nombreuses dents...ah non, ça c'est tous les personnages en fait).
Le scénario peut encore nous réserver des surprises et le sous-titre anomalies quantiques est interpellant.
Mais si je salue le talent de créateur d'univers de Léo, je dois avouer que je n'ai jamais vraiment adhéré à son dessin qui est fort figé et d'une expressivité terriblement théâtrale. La mise en couleur est très moyenne également.
A suivre
