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Critique de Meygisan
Ce tome m'est apparu comme plutôt décevant au regard de l'ensemble complet du cycle dit d'Aldébaran. Il est le 21 eme tome de la série et nous n'avançons que très lentement dans l'intrigue générale. Il est maintenant communément admis que les différentes séries ( les 3 premier cycles avec Kim Keller et celui ci avec Manon Servoz) sont liées par un moyen ou un autre et qu'on attend vivement la rencontre entre les deux héroïnes. Mais ce ne sera pas encore avec ce tome là. Certes il est nécessaire et logique de terminer cette série propore avant de proposer une suite dans laquelle on attend Léo au tournant. Mias il n'en reste pas moins que celui ci nous fait passablement lambiné sur notre sort et joue avec nos nerfs.
le côté humaniste de ces histoires, que je reconnaissais jusque là essentiel et distinctif dans la sf, était un élément important voire nécessaire à la contsruction et à la qualité de ses histoires. Mais avec le temps et après 20 volumes, cela commence à être un peu lourd et redondant. Certes Léo fait toujours preuve d'une imagination débordante en matière de faune et de flore extra terrestre bizaroïde ( comme il aime à le dire), dont " surgit l'étrangeté qui fait basculer la réalité dans un monde de science fiction", mais il serait temps de se renouveler un peu en matière de scénario et de narration. Car finalement, après avoir lu les cycles précédents, on n'est plus tellement surpris par ce que nous conte Léo. Là où on pouvait être émerveillé dans un volume d'Aldébaran, on attend maintenant quelque chose d'encore plus étonnant. Peut être serait il temps d'approfondir cet emblématique personnage de la mantrisse comme cela est sans doute suggéré à la fin de ce tome. On a envie d'en savoir plus. Les histoires d'une jeune, belle et forte héroïne aux prises avec une nature sauvage, c'est bon, on connaît!! On veut autre chose....
le côté humaniste de ces histoires, que je reconnaissais jusque là essentiel et distinctif dans la sf, était un élément important voire nécessaire à la contsruction et à la qualité de ses histoires. Mais avec le temps et après 20 volumes, cela commence à être un peu lourd et redondant. Certes Léo fait toujours preuve d'une imagination débordante en matière de faune et de flore extra terrestre bizaroïde ( comme il aime à le dire), dont " surgit l'étrangeté qui fait basculer la réalité dans un monde de science fiction", mais il serait temps de se renouveler un peu en matière de scénario et de narration. Car finalement, après avoir lu les cycles précédents, on n'est plus tellement surpris par ce que nous conte Léo. Là où on pouvait être émerveillé dans un volume d'Aldébaran, on attend maintenant quelque chose d'encore plus étonnant. Peut être serait il temps d'approfondir cet emblématique personnage de la mantrisse comme cela est sans doute suggéré à la fin de ce tome. On a envie d'en savoir plus. Les histoires d'une jeune, belle et forte héroïne aux prises avec une nature sauvage, c'est bon, on connaît!! On veut autre chose....
