Mon Dieu que c'est lent !
Amateurs d'intrigues policières bien ficelées, passez votre chemin.
Donna Leon n'est guère inspirée et étire - parfois un peu péniblement - une enquête qui ne s'anime que dans les vingt dernières pages pour un dénouement entrevu depuis longtemps.
Il reste en revanche une galerie de personnages toujours attachants, Brunetti en tête, et surtout, le charme de cette Venise ouatée, secrète et fière qui crée une atmosphère si particulière qu'elle parvient à faire oublier - un peu - la faiblesse du reste.
Commenter  J’apprécie         112