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Critique de Billygirl
Quel mignon petit chien ! Voilà ce que j'ai pensé en découvrant Gobi & moi au rayon librairie, du coup, je suis repartie avec et je l'ai lu dans la foulée.
Je n'avais pas entendu parlé de cette histoire qui a pourtant été pas mal médiatisée et qui l'est encore puisque Dion Leonard, narrateur à la première personne de ce roman autobiographique, sera ce dimanche au marathon de Paris avec sa petite chienne Gobi afin de promouvoir la sortie de ce livre et bientôt celle d'un film.
Ce n'est pas que l'histoire d'une mignonne petite chienne... c'est toute une aventure et la rencontre d'une vie entre un homme et un chien. Dion nous raconte en même temps son enfance difficile, de quelle façon il est devenu coureur et son esprit de compétition.
Dion Leonard est un ultra-marathonien, c'est à dire un coureur de l'extrême qui participe à des courses d'endurance dans des endroits du monde souvent peu accessibles et dans des conditions de difficultés incroyables. C'est en participant à une de ces compétitions, la Gobi March Race en Chine, que la vie de Dion a changé et c'est son histoire qu'il nous raconte ici.
Je dois dire que j'ai eu les larmes aux yeux une grande partie du bouquin. Les chiens tiennent une grande place dans mon coeur et ont toujours partagé ma vie, aussi, comment ne pas être émue et se sentir concernée par le sort d'une petite vagabonde chinoise qui a choisi de s'attacher à un coureur australien, qui avait plus en tête la compétition que la prise en charge d'une petite boule de poils beige.
C'est donc dans le désert de Gobi qu'une petite chienne s'est mise à suivre les coureurs de cette compétition et surtout les basques aux guêtres jaunes de Dion comme si, lui seul au monde comptait. Dion ne tardera pas à s'émouvoir du sort de la petite coureuse qui le suit incroyablement jours et nuits et a lui faire la promesse de la ramener chez lui en Ecosse.
Cette promesse sera difficile à tenir pour bien des raisons, alors qu'une chaine de solidarité se met en place pour lui permettre d'être adoptée et de le suivre dans son pays. S'ensuivra pour Dion un délicat périple qui lui fera traverser la Chine et y prolonger son séjour avant de pouvoir donner un happy end à ce récit.
Les chiens sont des animaux extraordinaires de coeurs et de fidélité, des êtres incomparables, se donnant corps et âmes à leur maître et qui ne sont pas toujours bien récompensés de leur indéfectible amour. Gobi a eut la chance de rencontrer Dion qui est allé au bout de son engagement, des difficultés rencontrés et qui a tenu sa promesse malgré les phases de découragements, le stress, la barrière de la langue et la montagne de démarches à accomplir.
Gobi a misé sur le bon cheval et Dion est bien récompensé par son choix de sauver cette petite chienne de la misère, je lui souhaite le meilleur et j'irai voir ce film quand il sortira, de la même façon que j'ai lu et aimé ce livre.
Je n'avais pas entendu parlé de cette histoire qui a pourtant été pas mal médiatisée et qui l'est encore puisque Dion Leonard, narrateur à la première personne de ce roman autobiographique, sera ce dimanche au marathon de Paris avec sa petite chienne Gobi afin de promouvoir la sortie de ce livre et bientôt celle d'un film.
Ce n'est pas que l'histoire d'une mignonne petite chienne... c'est toute une aventure et la rencontre d'une vie entre un homme et un chien. Dion nous raconte en même temps son enfance difficile, de quelle façon il est devenu coureur et son esprit de compétition.
Dion Leonard est un ultra-marathonien, c'est à dire un coureur de l'extrême qui participe à des courses d'endurance dans des endroits du monde souvent peu accessibles et dans des conditions de difficultés incroyables. C'est en participant à une de ces compétitions, la Gobi March Race en Chine, que la vie de Dion a changé et c'est son histoire qu'il nous raconte ici.
Je dois dire que j'ai eu les larmes aux yeux une grande partie du bouquin. Les chiens tiennent une grande place dans mon coeur et ont toujours partagé ma vie, aussi, comment ne pas être émue et se sentir concernée par le sort d'une petite vagabonde chinoise qui a choisi de s'attacher à un coureur australien, qui avait plus en tête la compétition que la prise en charge d'une petite boule de poils beige.
C'est donc dans le désert de Gobi qu'une petite chienne s'est mise à suivre les coureurs de cette compétition et surtout les basques aux guêtres jaunes de Dion comme si, lui seul au monde comptait. Dion ne tardera pas à s'émouvoir du sort de la petite coureuse qui le suit incroyablement jours et nuits et a lui faire la promesse de la ramener chez lui en Ecosse.
Cette promesse sera difficile à tenir pour bien des raisons, alors qu'une chaine de solidarité se met en place pour lui permettre d'être adoptée et de le suivre dans son pays. S'ensuivra pour Dion un délicat périple qui lui fera traverser la Chine et y prolonger son séjour avant de pouvoir donner un happy end à ce récit.
Les chiens sont des animaux extraordinaires de coeurs et de fidélité, des êtres incomparables, se donnant corps et âmes à leur maître et qui ne sont pas toujours bien récompensés de leur indéfectible amour. Gobi a eut la chance de rencontrer Dion qui est allé au bout de son engagement, des difficultés rencontrés et qui a tenu sa promesse malgré les phases de découragements, le stress, la barrière de la langue et la montagne de démarches à accomplir.
Gobi a misé sur le bon cheval et Dion est bien récompensé par son choix de sauver cette petite chienne de la misère, je lui souhaite le meilleur et j'irai voir ce film quand il sortira, de la même façon que j'ai lu et aimé ce livre.
