Kaleïdos, tome 1 : La Mer-Suspendue

« Depuis la Haute Ronde, voyageant dans le ciel étoilé, neuf divinités baptisées Hazutes oeuvrèrent pour imaginer un monde nouveau : Kaleïdos. de cette explosion de créativité naquirent neuf peuples et neuf territoires reliés les uns aux autres. La vie harmonieuse pour les peuples fut la promesse, l'émerveillement le cadeau. Puis un jour, le contact entre les Hazutes et les habitants fut rompu et, pour la première fois de leur existence, ces derniers se retrouvèrent confrontés à leur libre-arbitre... sans se douter que leur monde était désormais en danger ! »

Une ancienne prophétie annonçait qu'un jour les divinités s'endormiraient et laisseraient Kaleïdos figée à jamais. Jharzafat, du peuple Velkuin, a été missionné pour répandre l'accomplissement de cette prophétie. Il se rend d'abord à la Mer-Suspendue. Là-bas, il se verra contraint d'entrer dans un mystérieux trou pour y retrouver une jeune fille Paltrii...

Ce premier tome est avant tout là pour nous présenter Kaleïdos, la façon dont il a été créé, les différents peuples qui l'habitent, mais aussi les premières conséquences dues à la chute d'une des neuf couleurs. Et c'est à travers une aventure haute en couleur, qui consiste ici à sortir la princesse Qwydine d'un mauvais pas, que l'on fait la connaissance des protagonistes : un messager, une princesse, une nounou-guerrière, un petit compagnon de voyage, et quelques créatures impressionnantes, monstrueuses ou attachantes.

Action et aventure ne manquent pas à l'appel. L'univers a l'air bien construit et promet de nous en mettre plein la vue dans le (les ?) prochain(s) tome(s). Les personnages ne manquent ni de courage, ni de personnalité. Il y a une bonne dose d'humour également.

Le tout se lit très vite, car il y a au final peu de texte. Les dessins font leur part du marché : très colorés, au trait fin et bien détaillées, ils sont également très animés et, de ce fait, offrent un rythme très soutenu.

Je suis curieuse de voir ce que le tome 2 nous réserve.

Reçu et lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée, je remercie Nicolas de Babelio et les éditions Delcourt pour la découverte de cette BD fantasy.

Une jolie lecture jeunesse

Reçu lors d'une masse critique privilégiée, j'ai eu le plaisir de découvrir l'univers onirique et très coloré du monde de Kaléidos.

Créé par les neuf divinités baptisées Hazutes, ce monde n'est qu'harmonie, paix et bonheur. Jusqu'au jour où les divinités s'endorment... Pour toujours.

Ce premier tome annonce une épopée pleine de rebondissements. Les couleurs sont magnifiques et on en prend plein la vue.

Les personnages semblent sympathiques et on a hâte d'en découvrir plus à leur propos.

L'histoire est peut être un peu compliquée pour de tous jeunes lecteurs de 7-8 ans, mais saura ravir les plus grands, en quête d'aventure fantastique dans un monde imaginaire merveilleux.

Merci à Babelio et aux éditions Delcourt pour cette jolie découverte. Je ne manquerai pas de lire la suite !

Bienvenue à Kaleïdos !
Plongez dans un monde merveilleux, créé par les Hasutes, neuf divinités qui en ont fait un véritable paradis. Ses habitants y vivent en harmonie, profitant de chaque nouvelle création des dieux.
Jusqu'au jour où ces derniers s'endorment...

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Jour de sortie pour cette chouette BD jeunesse, qui allie action et aventure. Dans ce premier tome, nous découvrons un univers riche et chatoyant, peuplé de créatures magnifiques, un monde qui semble idyllique... et qui risque de disparaître.
Nous y suivons Jharzafat, qui a été missionné pour annoncer la possible catastrophe à venir. En chemin, il tente de venir en aide à Qwydine, et découvre que les mange-sols ont un comportement anormal...

Un premier tome très dynamique, qui alterne de superbes doubles-pages et grandes cases détaillées avec des passages riches en mouvement. Les couleurs sont pétillantes, à l'image de cette couverture bleue qui attire le regard.

J'ai apprécié le petit groupe qui se crée, avec Jharzafat, son facétieux compagnon de voyage Zlub, la princesse Qwydine et sa nounou-guerrière (j'adore le concept). C'est un groupe sympathique : chacun a son petit caractère et les répliques ne manquent pas d'humour.

Un premier tome qui se lit très vite, une jolie surprise ! Il n'y a plus qu'à attendre la suite...

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Merci à Babelio et aux éditions Delcourt de m'avoir proposé cet ouvrage lors d'une masse critique privilégiée !

Mon avis :
J'ai tout d'abord été séduite par la qualité du graphisme de ce premier tome. La couverture est absolument magnifique et on imagine très vite que l'aventure va être rocambolesque. Les auteurs nous offrent une kyrielle de créatures plus charmantes les unes que les autres. Pour ma part, j'ai complètement craqué sur les monstres affreusement affreux !!! À nous faire frémir de peur...
L'histoire est intéressante et pose l'intrigue pour les tomes suivants même si j'ai trouvé qu'elle se dénouait un peu facilement.
En conclusion, un agréable moment de lecture que je vous invite à partager en famille.

Kaleïdos est un monde créé par neuf divinités. Neuf divinités représentées par neuf formes et couleurs aux noms imprononçables.... Ainsi ces divinités nommées les Hazutes ont donné naissance à neuf territoires pour neuf peuples reliés les uns aux autres. Kaleïdos est en perpétuelle évolution en fonction des caprices esthétiques des Hazutes.
Jusqu'au jour où Ethiop à la couleur noire rompit la chaîne des neufs couleurs...
Kaleïdos se retrouva donc voué à lui-même. Si les prophètes interprétèrent cela comme de bonne augure, il semblerait que cela ne soit pas aussi réjouissant...
Une histoire dans l'univers de la fantasy très originale pour la jeunesse. Ce premier tome nous présente ce monde imaginaire et des personnages à qui l'humour ne fait pas défaut. Évidemment des créatures monstrueuses qui nécessiteront des combats entre magie et adresse formeront l'action de cette histoire.
(Ces mange-sol m'ont fait penser au Vers des sables de Dune...un clin d'oeil ?)
Les pages se tournent à un bon rythme et avec plaisir.
Les graphismes très colorés et les décors détaillés accrochent le regard.
C'est un plaisir de scruter ces paysages imaginaires dans les moindres détails.
J'imagine que les prochains tomes présenteront graphiquement chaque territoire aux travers de tableaux colorés et riche de détails.
Merci à Babelio et les éditions Delcourt pour cette découverte et la carte goodies.
Ce fut une bonne lecture et un régal pour les yeux.

Je remercie Babelio de m'avoir sollicitée pour Kaleïdos
C'est une très belle BD, j'ai été séduite par le graphisme et les couleurs.
Chaque double page est dans les mêmes tons (bleu ou orange ou beige etc….). Les auteurs ont vraiment apporté un soin particulier à la mise en couleur ce qui apporte de l'originalité à cette BD.
Autre point fort, il y a tout un tas de petits détails dans les images: des petites bestioles, des champignons des végétaux qui enrichissent le dessin et qui encouragent le lecteur à revoir cette histoire plusieurs fois.
L'histoire est originale, des dieux crées un monde nouveau habité par 9 peuples (tous très différents physiquement). et puis un jour, les dieux les laissent se débrouiller tout seul…..
Le messager Jharzafat fait connaissance de la princesse Qwydine dans des conditions inconfortables. Va s'ensuivre de la baston …
Peu de texte et dialogues, mais des touches d'humour, je n'ai peut être pas compris tous les jeux de mots de certains noms (Grananadraye -> référence à une boisson? ou encore QadrassRamplass -> référence à un réparateur de pare brise?). le récit est manichéen (la lutte du bien contre le mal). L' histoire ne se termine pas à la fin de la BD puisque c'est le tome 1, il y a donc une suite, mais ce premier tome m'a bien accrochée et j'attends le deuxième avec impatience.

Reçu suite à une masse critique privilégiée Babelio et je ne suis pas déçue : un premier tome introductif qui nous fait découvrir Kaleïdos, un univers fantastique haut en couleurs dans lequel on se balade avec le jeune Jharzafat. Un graphisme soigné, un univers très coloré rempli de détails, d'humour et de jeux de mots. Un concept de mer suspendue étonnant mais pourquoi pas après tout, ça va de pair finalement avec la présentation de départ : un monde dans lequel l'imagination n'a pas de limites. J'ai passé un bon moment à le découvrir et suis tentée d'en savoir plus avec le deuxième tome qui je pense alimentera davantage l'intrigue proposée dans ce tome 1.

L'histoire : Dans ce monde où les dieux viennent de s'endormir, une prophétie annonce que les peuples sont maintenant dotés du libre-arbitre. Des missionnaires vont donc de par le monde annoncer la nouvelle des oracles. Nous en suivons un, Jharzafat, qui a l'air plein de bonne volonté, et pas très dégourdi. En cours de route, il décide d'aller secourir une jeune fille, et se fait capturer par des créatures d'ordinaires pacifiques.

La plume de l'auteur & le dessin : le dessin est détaillé, il y a plusieurs grandes cases, avec de petits détails un peu partout, et de très belles couleurs. Pour le scénario, nous sommes sur un début de cycle, avec un contexte général assez ouvert, et juste le début de l'intrigue. .

Mon avis général : La lecture se fait assez vite, il y a de très beaux décors, les personnages sont vifs et d'espèces bien diverses, ce qui semble correspondre au contexte. La lecture est agréable, et il faudrait avoir la suite du scénario pour savoir si j'apprécie vraiment cette série ou pas. On a pas encore eu le coeur de l'histoire au travers de ce premier tome, je trouve.

C'est une bien belle bande dessinée que nous offrent là les éditions Delcourt et ses auteurs Motus et Lucio Leoni.

On est d'emblée saisis par la beauté des graphismes, un peu à l'ancienne, avec des couleurs chatoyantes et un sens aiguisé du détail. C'est un réel plaisir, d'abord visuel, de plonger dans cet univers original, dans lequel les dieux ont abandonné le commun des mortels pour qu'ils puissent laisser cours à leur libre-arbitre.

Un sujet qui résonne particulièrement dans notre actualité, tant les différents peuples vivent dans une insouciance et une opulence bienheureuses, jusqu'au jour où l'équilibre est brisé et leur paisible vie quotidienne chamboulée.

Au niveau de l'histoire, tout va peut-être un peu vite, (la présentation des personnages, les scènes d'action, l'insertion dans cet univers très riche), mais l'on sent quand même que les bases sont posées, que cette introduction nous mènera vers des aventures extraordinaires.

Avec plusieurs niveaux de lecture et des images splendides, cette bande dessinée fantasy est destinée à tous les publics. On attend les prochains tomes avec beaucoup de curiosité !

Je remercie chaleureusement les éditions Delcourt et Babelio pour cette Masse critique privilégiée !

Il n'est pas rare qu'un récit de fantasy commence par une prophétie... C'est le cas dans ce premier tome de « Kaléïdos » qui voit avec horreur la fin du règne des dieux sur le monde qu'ils ont créés. C'est comme si on venait à croire Zarathoustra quand il déclare que Dieu est mort ! Branle-bas de combat chez les anciens, capables de lire les augures des dieux. Ils envoient tous leurs apprentis de par le monde pour prêcher la nouvelle : le libre-arbitre ! Plus aucun dieu ne va s'immiscer dans la vie de son peuple. Plus aucun changement dans ce royaume, pourtant malléable à souhait, ne sera de leur fait (en d'autres termes : si ça merdouille, ça sera la faute des occupants des lieux...)
Voilà le contexte planté par mOTUS dans cette aventure qui ravira plus d'un jeune. Parce qu'en plus de bousculer les habitudes de chacun sur Kaléïdos, l'auteur titille aussi le lecteur avec des personnages sympathiques, un brin bizarre, à qui il arrive des mésaventures en voulez-vous, en voilà ! Sans oublier leurs noms à coucher dehors entre pub dérivée pour un produit ou sorti mal orthographié d'une série adulée. Comme Canada Dry... oups Grananadraye, le premier méchant rencontré dans cette folle aventure !
Le dessin du duo Lucio Leoni & Emanuela Negrin n'est pas en reste, suivant la folie du scénariste pour créer des décors - et des personnages - hauts en couleurs ! Des bouilles à croquer, des membres inattendus (parce qu'on ne s'attend pas toujours à voir des tentacules à la place des bras pour ce qui ressemble à une elfe) et une imagination débordante comme « La Mer-Suspendue » qui en jette quand le héros y parvient.
Si on ajoute à tout cela la colorimétrie fraîche et dynamique de Iver2anes (ça se prononce comment ce nom ?!) : voilà un chouette début de série aux éditions Delcourt ! Vivement la suite dans le tome 2 : « Le Trône de Saphir »
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