Il faut que l’homme rassemble toutes ses valeurs vitales et ses énergies pour se développer et préparer sa libération. Ce n’est plus le moment de se battre les uns contre les autres, de chercher à s’accabler mutuellement ; il faut que l’homme ait pour seul but de s’élever, de se libérer des liens inutiles que l’on est en train de créer et qui le poussent vers l’abîme de la démence.
L’enfant ne doit pas être considéré comme le fils de l’homme mais comme le créateur et le père de l’homme, un père capable de créer une humanité meilleure.
Tous les 6 ans l'enfant gravit une marche. Trois ans pour avancer, trois ans pour consolider.
Un peu comme une prière, l'enfant nous demande:
De 0 à 3 ans, aide-moi à être moi-même.
De 3 à 6 ans, aide-moi à faire par moi-même.
De 6 à 12 ans, aide-moi à penser par moi-même.
De 12 à 18 ans, aide-moi à trouver ma place dans la société.
De 18 à 24 ans, aide-moi à aider les autres.
Vous avez très justement remarqué que pour atteindre la paix dans ce monde et si nous voulons mener la guerre à la guerre... Nous devons commencer par les enfants, et s'ils grandissent dans leur innocence naturelle, nous n'aurons pas la lutte, nous n'aurons pas à adopter de vaines résolutions... Mais nous passerons de l'amour à l'amour, de la paix à la paix, jusqu'à ce que, enfin, tous les coins de ce monde soient couverts de cette paix et de cet amour, dont consciemment ou inconsciemment, le monde entier a faim. ( Gandhi).
C’est dans la répétition et non dans le fait d’apprendre que consiste l’exercice qui développe la vie.
Un peu comme une prière l’enfant vous demande :
De 0 à 3 ans, aide-moi à être moi-même.
De 3 à 6 ans, aide-moi à faire par moi-même.
De 6 à 12 ans, aide-moi à penser par moi-même.
De 12 à 18 ans, aide-moi à trouver ma place dans la société.
De 18 à 24 ans, aide-moi à aider les autres.
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L’homme n’appartient qu’à lui-même : il doit s’incarner grâce à sa propre volonté.
L’ordre extérieur favorise l’ordre intérieur
Je regarde nos enfants sans préjugés. Nul enfant n'a encore montré ses pleines capacités.
Nos plus grandes limites sont nos croyances.
Sans discipline point de liberté, mais un abandon de l’enfant.
Sans liberté point de discipline, que de la soumission.
Enlève une notion de ce concept et tu as alors un être aliéné. Mets les deux et tu as un être libre.