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Critique de ChuckMorisse
• Les 5 Terres, Tome 8
• Lewelyn (Scénario) & Lereculey (Dessin)
• Delcourt
Deuxième tome du deuxième cycle, au revoir le Roi Lion, bienvenue à la Planète des Singes.
Si j'avais apprécié le premier tome, je l'avais trouvé en deçà du premier cycle.
Ce deuxième tome me fait quelque peu revoir mon avis.
Tout simplement car si nous sommes sur la même série, nous sommes sur un autre cycle, avec d'autres personnages, et surtout un autre ton.
Si, le premier cycle me faisait beaucoup penser à Game of Thrones, ce deuxième cycle s'en éloigne assez.
Est-ce que c'est pour autant moins bon ?
Je ne le pense pas (ou plus).
Le petit défaut que l'on peut trouver au premier tome, c'est de nous proposer beaucoup de choses (trop de choses). Il y a beaucoup de personnages et on peut rapidement s'y perdre.
Pour autant, lorsqu'on continue la série, on s'attache à chacun des personnages, à chacune de leurs problématiques, et ce nombre important de personnages devient au final un point positif.
Côté dessin, rien à redire, c'est toujours aussi impeccable, et Lereculey inscrit son nom dans les pointures de l'anthropomorphisme.
• Lewelyn (Scénario) & Lereculey (Dessin)
• Delcourt
Deuxième tome du deuxième cycle, au revoir le Roi Lion, bienvenue à la Planète des Singes.
Si j'avais apprécié le premier tome, je l'avais trouvé en deçà du premier cycle.
Ce deuxième tome me fait quelque peu revoir mon avis.
Tout simplement car si nous sommes sur la même série, nous sommes sur un autre cycle, avec d'autres personnages, et surtout un autre ton.
Si, le premier cycle me faisait beaucoup penser à Game of Thrones, ce deuxième cycle s'en éloigne assez.
Est-ce que c'est pour autant moins bon ?
Je ne le pense pas (ou plus).
Le petit défaut que l'on peut trouver au premier tome, c'est de nous proposer beaucoup de choses (trop de choses). Il y a beaucoup de personnages et on peut rapidement s'y perdre.
Pour autant, lorsqu'on continue la série, on s'attache à chacun des personnages, à chacune de leurs problématiques, et ce nombre important de personnages devient au final un point positif.
Côté dessin, rien à redire, c'est toujours aussi impeccable, et Lereculey inscrit son nom dans les pointures de l'anthropomorphisme.
