Bâti sur les multiples mythes qui nous entourent, de la bible aux contes européens, ce deuxième tome nous entraîne dans un monde merveilleux où les bons affrontent les méchants, et où les traîtres - Edmund - se repentent.
Personnellement, ce que j'aime ici, c'est la magie de ce placard dans lequel les enfants s'enfoncent et qui débouche sur le monde enneigé, l'éternel hiver de Narnia.
J'aime la demeure du couple castor, comme toutes celles des souris ou des hobbits qu'on retrouve dans tant d'autres récits pour enfants.
J'aime enfin, encore une fois, la majesté de ce lion triste, Aslan, formidablement décrit.
J'ai lu pas mal de critiques négatives, notamment d'autres auteurs de jeunesse, accusant Lewis de sexisme, de racisme et de prosélytisme. Dans les deux premiers tomes - à part effectivement ces allusions bibliques - je n'ai rien trouvé de tel, mais je pense que je ne lirai pas les chroniques dans leur intégralité.
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