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Critique de Mladoria
Excentrique, extravagante, extravertie, expansive, extraordinaire. Les qualificatifs sont nombreux pour qualifier cette petite fille hors du commun décrite par Astrid Lindgren.
Des aventures sous forme d'épisodes, un chapitre correspond à une aventure de la rouquine à tresses, à grandes godasses et habits bariolés. En plus d'avoir un aspect clownesque qui n'est pas sans faire rire le lecteur, Fifi aborde différents thèmes sérieux qui donne une profondeur au personnage et au récit en lui-même (la solitude, le clivage monde des adultes/ monde enfantin, les brimades entre enfants) et des thèmes moins sérieux qui font surgir un parfum d'enfance (laver le plancher brosses aux pieds en faisant du patin, grimper aux arbres et s'y installer pour prendre le goûter).
On rit et on se souvient. Un livre qui fait du bien.
Des aventures sous forme d'épisodes, un chapitre correspond à une aventure de la rouquine à tresses, à grandes godasses et habits bariolés. En plus d'avoir un aspect clownesque qui n'est pas sans faire rire le lecteur, Fifi aborde différents thèmes sérieux qui donne une profondeur au personnage et au récit en lui-même (la solitude, le clivage monde des adultes/ monde enfantin, les brimades entre enfants) et des thèmes moins sérieux qui font surgir un parfum d'enfance (laver le plancher brosses aux pieds en faisant du patin, grimper aux arbres et s'y installer pour prendre le goûter).
On rit et on se souvient. Un livre qui fait du bien.
