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Critique de Capucine214
J'ai lu ce livre car j'ai vu qu'il était sorti en film et que j'aime bien découvrir le livre avant les images.
Alors... que vous dire. Déjà je ne suis pas portée sur le fanstatique mais parfois j'aime me laisser séduire par ce style. J'ai beaucoup aimé la série Outlander, par contre j'ai beaucoup de mal avec les livres. J'aime l'univers un peu glauque de Stephen King et j'adore sa série Castel Rock. Mais là... Bon d'accord je n'ai pas encore visualisé le film mais franchement si je devais rester sur l'impression du livre, je ne le regarderai pas. C'est peut être pour cela que celui ci reste dans ma liste d'attente.
J'ai beaucoup aimé le début du livre, jusqu'à la disparition. Mais après, que c'est long. J'ai même failli abondonner. Je vois des critiques qui parlent d'enquête, d'insupportable mystère, de magie fantastique. Perso, je n'ai rien ressenti de tout cela.
Nous sommes face à une institution pour filles riches en plein bush australien. le soleil plombe en cette fête du Saint Valentin et les jeunes filles partent en pique nique. Où vont elles ? A Hanging Rock avec son rocher mystérieux, quasi hypnotique qui dégage une atmosphère féérique. Les jeunes filles ne doivent pas s'approcher de ce caillou, mais voilà qu'un groupe de quatre plus téméraire que les autres s'engage sur le sentier en direction du rocher qui semble s'éloigner au fur et à mesure qu'elles s'en rapprochent. Pour le reste de l'équipe, le soleil est tellement chaud et anesthésiant, que tout le monde plonge dans une douce torpeur. Au moment du départ, il manque nos quatre aventurières. Non, trois car surgit l'une d'elle totalement affolée, depenaillée. Une professeur part à la recherche des absentes mais disparait elle aussi. Une autre fille sera retrouvée inconsciente, déshydratée sur le rocher lors de recherche.
Ce livre a été écrit en 1967, ce qui explique la pauvreté des effets "spéciaux". Mais quand même. Je suis allée au bout car je voulais savoir si on retrouverait les disparues ou pas. Seule Madame Appleyard sort son épingle du jeu et sa seule présence donne un fond de noirceur à ce récit. Est ce une sorcière, une âme maléfique ou simplement une femme désabusée et alcoolique.
Bref, je suis restée sur ma faim et n'ai pas ressenti le petit frisson que me fait dresser les poils.
Lien : https://jelisquoi.blogspot.c..
Alors... que vous dire. Déjà je ne suis pas portée sur le fanstatique mais parfois j'aime me laisser séduire par ce style. J'ai beaucoup aimé la série Outlander, par contre j'ai beaucoup de mal avec les livres. J'aime l'univers un peu glauque de Stephen King et j'adore sa série Castel Rock. Mais là... Bon d'accord je n'ai pas encore visualisé le film mais franchement si je devais rester sur l'impression du livre, je ne le regarderai pas. C'est peut être pour cela que celui ci reste dans ma liste d'attente.
J'ai beaucoup aimé le début du livre, jusqu'à la disparition. Mais après, que c'est long. J'ai même failli abondonner. Je vois des critiques qui parlent d'enquête, d'insupportable mystère, de magie fantastique. Perso, je n'ai rien ressenti de tout cela.
Nous sommes face à une institution pour filles riches en plein bush australien. le soleil plombe en cette fête du Saint Valentin et les jeunes filles partent en pique nique. Où vont elles ? A Hanging Rock avec son rocher mystérieux, quasi hypnotique qui dégage une atmosphère féérique. Les jeunes filles ne doivent pas s'approcher de ce caillou, mais voilà qu'un groupe de quatre plus téméraire que les autres s'engage sur le sentier en direction du rocher qui semble s'éloigner au fur et à mesure qu'elles s'en rapprochent. Pour le reste de l'équipe, le soleil est tellement chaud et anesthésiant, que tout le monde plonge dans une douce torpeur. Au moment du départ, il manque nos quatre aventurières. Non, trois car surgit l'une d'elle totalement affolée, depenaillée. Une professeur part à la recherche des absentes mais disparait elle aussi. Une autre fille sera retrouvée inconsciente, déshydratée sur le rocher lors de recherche.
Ce livre a été écrit en 1967, ce qui explique la pauvreté des effets "spéciaux". Mais quand même. Je suis allée au bout car je voulais savoir si on retrouverait les disparues ou pas. Seule Madame Appleyard sort son épingle du jeu et sa seule présence donne un fond de noirceur à ce récit. Est ce une sorcière, une âme maléfique ou simplement une femme désabusée et alcoolique.
Bref, je suis restée sur ma faim et n'ai pas ressenti le petit frisson que me fait dresser les poils.
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