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Critique de gill
Quelque part au fond de l'océan s'étend la pittoresque cité sous-marine des "Fonds Jolis".
C'est le journal "Pilote" qui révéla au monde l'existence de ce peuple aquatique.
Depuis sa rencontre historique avec le commandant Goujon, Submerman a été élu empereur des "Fonds Jolis".
Ayant accepté une invitation des U.S.A, il a pris place à bord d'une sphère spéciale qui parcourt les rues de New-York.
Rien ne manque à sa tournée triomphale.
Ni les majorettes, ni les confettis, ni même un attentat.
Vingt-quatre heures après son arrivée à New-York, nous retrouvons Submerman à l'Assemblée des Nations Unies où l'on va décider de l'acceptation de son peuple au sein de l' O.N.U.
Enfin après de longs discours, une objection jette soudain une note discordante.
Un homme se lève, qui se réclame du peuple "hydreux", la plus puissante des nations sous-marines.
C'est l'amiral Mundfer, empereur du grand Cloaque !
Finalement, l'Assemblée des Nations Unies accepte les "Fonds Jolis" par 28 voix de majorité et adopte, après de longs débats, la motion suivante :
- ils proposent d'envoyer un groupe d'observateurs international dans le grand Cloaque afin de constater si, comme aux dires de Mundfer, les "hydreux" sont les gens les plus heureux du monde, ou si, au contraire, comme le prétend Submerman, ce peuple est asservi par l'amiral et ses sinistres complices, Plancton et Lebahu, qui se sont emparés du pouvoir par la force en se faisant passer pour des Dieux auprès des "hydreux" naïfs.....
En ce mois de février 1968, Jacques Lob écrit pour Georges Pichard un troisième chapitre des aventures de Submerman.
Le premier racontait la lutte du peuple aquatique de la radieuse cité des Fonds Jolis contre les Hydreux, des êtres blafards aux yeux globuleux et aux corps couverts d'écailles.
Les Hydreux ont réduits en esclavage dans leurs mines les aquatiques.
Seul, Submerman, a réussi à s'échapper et avec l'aide du commandant Goujon, qui découvre à cette occasion, l'existence d'un peuple vivant sous la mer, il libère son peuple...
Le second s'intitule : "Au delà du grand bouchon".
Les deux auteurs de cette série, qui comprend 5 grandes histoires parues initialement dans les pages du journal "Pilote" et de nombreux courts récits, nous offrent une nouvelle aventure passionnante délicieusement saupoudrée d'ironie et de contestation.
Le style est très "seventies".
Le dessin est faussement naïf, les couleurs sont très "Pop" et le récit est habilement construit.
L'album est une réussite. La série est un succès.
C'est le journal "Pilote" qui révéla au monde l'existence de ce peuple aquatique.
Depuis sa rencontre historique avec le commandant Goujon, Submerman a été élu empereur des "Fonds Jolis".
Ayant accepté une invitation des U.S.A, il a pris place à bord d'une sphère spéciale qui parcourt les rues de New-York.
Rien ne manque à sa tournée triomphale.
Ni les majorettes, ni les confettis, ni même un attentat.
Vingt-quatre heures après son arrivée à New-York, nous retrouvons Submerman à l'Assemblée des Nations Unies où l'on va décider de l'acceptation de son peuple au sein de l' O.N.U.
Enfin après de longs discours, une objection jette soudain une note discordante.
Un homme se lève, qui se réclame du peuple "hydreux", la plus puissante des nations sous-marines.
C'est l'amiral Mundfer, empereur du grand Cloaque !
Finalement, l'Assemblée des Nations Unies accepte les "Fonds Jolis" par 28 voix de majorité et adopte, après de longs débats, la motion suivante :
- ils proposent d'envoyer un groupe d'observateurs international dans le grand Cloaque afin de constater si, comme aux dires de Mundfer, les "hydreux" sont les gens les plus heureux du monde, ou si, au contraire, comme le prétend Submerman, ce peuple est asservi par l'amiral et ses sinistres complices, Plancton et Lebahu, qui se sont emparés du pouvoir par la force en se faisant passer pour des Dieux auprès des "hydreux" naïfs.....
En ce mois de février 1968, Jacques Lob écrit pour Georges Pichard un troisième chapitre des aventures de Submerman.
Le premier racontait la lutte du peuple aquatique de la radieuse cité des Fonds Jolis contre les Hydreux, des êtres blafards aux yeux globuleux et aux corps couverts d'écailles.
Les Hydreux ont réduits en esclavage dans leurs mines les aquatiques.
Seul, Submerman, a réussi à s'échapper et avec l'aide du commandant Goujon, qui découvre à cette occasion, l'existence d'un peuple vivant sous la mer, il libère son peuple...
Le second s'intitule : "Au delà du grand bouchon".
Les deux auteurs de cette série, qui comprend 5 grandes histoires parues initialement dans les pages du journal "Pilote" et de nombreux courts récits, nous offrent une nouvelle aventure passionnante délicieusement saupoudrée d'ironie et de contestation.
Le style est très "seventies".
Le dessin est faussement naïf, les couleurs sont très "Pop" et le récit est habilement construit.
L'album est une réussite. La série est un succès.
