Une façon d'aimer très possessive, comme si l'autre était notre chose (toutes les sortes d'amour: filiale, maternelle, amicale, amoureuse (gay); toujours la même manière d'aimer, malsaine).
Je ne sais si cela, qui transparaît dans l'oeuvre, est volontaire de la part de cet auteur, d'origine camerounaise. Peut-être est-ce le seul type d'amour qu'il a connu et que cela se reflète dans son roman? Toujours est-il que cela fait parti des raisons pour laquelle j'ai trouvé intéressant ce livre.
39 rue de Berne se passe en grande partie à Genève (Suisse), place des Nations. Un auteur et un roman à découvrir!
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