La montagne ou la philosophie, à mon avis il faut choisir, je préfère de loin la montagne et si la griserie des cimes ne laisse pas toujours les cerveaux indemnes, quel ennui pour moi que ces analyses kantiennes, sartriennes et autres accrochées à l'aiguille du Tour, dans le massif du mont Blanc.
Pour parler du vertige, l'auteur fait le choix d'une course vers cette aiguille en compagnie d'une amie, et, entre la relation des détails effleurés de l'ascension, il analyse toutes ces perceptions existentielles qui me paraissent tellement éloignées de l'univers des sommets.
Il termine même avec
Freud, en annonçant d'ailleurs qu'il va suivre une psychanalyse. Rien à voir avec la conquête de l'inutile.
Pour moi, livre très ennuyeux.
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