Dans
Jeux de maux,
David Lodge règle ses comptes avec l'Eglise catholique et ses dogmes relatifs à la sexualité de ses ouailles. Il peint une jeunesse inhibée, refoulée et culpabilisée par une morale contraignante. Les doutes et les hésitations de ces jeunes, qui balancent sans cesse entre velléité sexuelle et refoulement religieux, donnent lieu à des scènes d'une drôlerie consommée. Désopilant !
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