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Critique de Kenehan
« Gallica » est une trilogie de fantasy qui fait suite à « La Moïra », du même auteur. Après une Irlande fantasmée, Henri Loevenbruck réinvente la France du Moyen-Age.
Les « brumes » sont en danger et le destin du jeune Bohem semble étroitement lié à ces dernières. Nombreux seront ces alliés comme ses ennemis dans une lutte politico-religieuse où se confrontent anciennes et nouvelles croyances.
Une France mystifiée qu'il est agréable de parcourir en compagnie du héros et de ses amis. Bien que les noms soient altérés, il reste aisé d'en reconnaître la proximité réaliste. Une manière de redécouvrir nos villes et régions par le prisme de la fantasy.
C'est aussi un pavé de près de 950 pages réunissant trois romans, une nouvelle et intégrant même le livre audio « La dame de la forêt » sous la forme d'un chapitre. Et je dois dire qu'un sentiment d'exaspération et de stagnation s'est imposé en milieu de route. le livre m'est littéralement tombé des mains. Et par la suite, le rythme de lecture a souffert de la lenteur et de la lourdeur du récit. Un gros morceau très difficile à avaler et bourratif sur le long terme avec cette impression d'affronter une sorte d'hydre dont chaque page abattue engendre encore plus de pages. Un livre m'aura rarement autant découragé.
Les « brumes » sont en danger et le destin du jeune Bohem semble étroitement lié à ces dernières. Nombreux seront ces alliés comme ses ennemis dans une lutte politico-religieuse où se confrontent anciennes et nouvelles croyances.
Une France mystifiée qu'il est agréable de parcourir en compagnie du héros et de ses amis. Bien que les noms soient altérés, il reste aisé d'en reconnaître la proximité réaliste. Une manière de redécouvrir nos villes et régions par le prisme de la fantasy.
C'est aussi un pavé de près de 950 pages réunissant trois romans, une nouvelle et intégrant même le livre audio « La dame de la forêt » sous la forme d'un chapitre. Et je dois dire qu'un sentiment d'exaspération et de stagnation s'est imposé en milieu de route. le livre m'est littéralement tombé des mains. Et par la suite, le rythme de lecture a souffert de la lenteur et de la lourdeur du récit. Un gros morceau très difficile à avaler et bourratif sur le long terme avec cette impression d'affronter une sorte d'hydre dont chaque page abattue engendre encore plus de pages. Un livre m'aura rarement autant découragé.
