Charade

Il m'est difficile de parler de l'intrigue puisque j'ai abandonné la lecture au bout d'une quarantaine de pages tant l'écriture est maladroite, bourrée de poncifs qui m'ont fait penser à la série des OSS 117, et d'un vocabulaire approximatif. Les personnages sont caricaturaux, les situations déjà vues cent fois. Ce n'est pas parce que l'on écrit un policier que l'on peut ainsi maltraiter son lecteur. Un passage parmi cent autres : "Son regard revigoré de sa puissance s'éclaircit. le vert de ses iris se chargea de séduction. le regard brillant, Florent se redressa, les muscles de son corps reprenant leurs courbes athlétiques." Eh oui, un bon bain après deux mois d'alcool et de déchéance, ça a cet effet-là sur un commissaire déprimé...