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EAN : 9782298107500
432 pages
France loisirs (01/12/2015)
3.96/5   285 notes
Résumé :
Un rythme effréné qui vous laissera le souffle court !

Il laisse derrière lui des cadavres de jeunes femmes atrocement torturées et de mystérieux messages. Ce cruel et terrifiant tueur en série est pourtant traqué par le meilleur flic du 36, le commissaire Florent Bargamont, et une brillante criminologue, Emmanuelle de Quezac.
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Critiques, Analyses et Avis (127) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 285 notes
Mon premier est un psychopathe redoutable et pervers.

Mon deuxième est un « couple » d'enquêteurs hauts en couleurs.

Mon troisième est une course poursuite infernale.

Et mon tout est le roman noir Charade de Laurent Loison que je viens de lire à 100 à l'heure.

Dès les premières pages, j'ai été happé par cette enquête horrible.

Tout commence par la fin, une fois le serial killer arrêté et déjà on se demande où tout ceci va nous mener. Quelques pages plus tard, on se retrouve quelques mois plus tôt avec la découverte de la première victime de celui qui va être surnommé le tueur à la charade.

Et les ingrédients des meilleurs romans se serial killer vont suivre. Un enquêteur abimé, n'ayant plus vraiment foi en l'humanité, à trop chercher dans la tête des pires spécimens de l'humanité.

Une nouvelle recrue qui va devoir, à ses côtés, découvrir et faire face à l'innommable.

Une enquête compliquée et captivante. Une course contre la montre.
Laurent Loison signe là un thriller ciselé de main de maître. Je n'ai pu arrêter ma lecture tant chaque page appelle la suivante.

Coup de coeur. Tout fan de thrillers sanglants, se doit d'avoir dans sa bibliothèque Charade !
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Si, comme moi, vous pensez que pour faire un bon polar noir, il faut, un flic tourmenté, un criminel de la pire espèce, des victimes qui meurent dans d'atroces souffrances, des indices laissés sur les lieux de ses crimes par un assassin qui vous entraîne sur de fausses pistes, alors vous allez être servis.
Il y a tout ça dans Charade.
Le commissaire Bargamont, dont les exploits font la renommée du fameux 36, associé à une jeune et jolie criminologue, se voit chargé d'enquêter sur une série de meurtres particulièrement violents.
Pas d'empreintes, pas de trace ADN, seul, sur les lieux du drame, une ligne de charade sur une simple feuille de papier et le corps torturé de la victime.
N'oubliez pas de manger, vous pourriez le regretter…
Ames sensibles s'abstenir, coeurs fragiles, n'y pensez même pas.
Dès son premier roman, Laurent Loison place la barre très haut.
Il y a des livres qui vous tiennent en haleine de la première à la dernière page, celui-ci en fait partie. Incontestablement, l'une de mes meilleures lectures dans le genre.
Alors, je vous le dis…. Foncez !
Si j'en vois un qui hésite, je donne votre adresse à l'auteur, il saura trouver le poison pour éliminer vos doutes, et, qui sait, peut-être vous retrouverez-vous dans son prochain opus.

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Quelle intrigue ! Quel casse-tête ! Mais quel plaisir !

Florent Bargamont, les affaires complexes, il en a fait sa spécialité !
Alors, quand une série de meurtres particulièrement atroces et inhumains commence, c'est tout naturellement lui qui est chargé de l'enquête au 36 quai des orfèvres...
Il sera secondé pour la première fois par une jeune criminologue , toute jeune promue, tout aussi prometteuse que motivée.

Très vite, notre duo comprend qu'il a affaire à un tueur en série, sans pitié (les scènes de crimes sont d'une description plus qu'explicite), faisant preuve d'une minutie ne laissant rien au hasard, des mises en scènes macabres étudiées, comportant un point commun : Une enveloppe comportant une phrase, un morceau de charade !

Laurent Loison nous happe, nous embarque, avec une maîtrise incroyable, bluffante, dans son jeu de la charade .
Débuter ce livre et c'est déjà trop tard...
L'auteur nous manipule, page après page, sans ménagement, nous triture le cerveau, tant l'énigme est brillante et passionnante !
Une charade qui nous pousse à essayer de la résoudre par tous les moyens, en même temps que nos enquêteurs.
Ca cogite ! Ca cogite ! Ca fume même...
"Qu'est-ce que j'ai loupé, bordel ???"
Les méninges en prennent un sacré coup !
Mais sans succès...

Le dénouement est à couper le souffle et m'a plongé dans un climat de malaise assez déconcertant...

Laissez vous prendre au jeu...Vous ne serez pas déçu !

Un seul regret... Ne pas avoir eu assez de temps pour le lire d'une traite, comme je l'aurais souhaité, afin de profiter pleinement de toute la tension psychologique omniprésente d'un bout à l'autre de cet excellent thriller.

Je remercie chaleureusement l'auteur pour sa dédicace et la personne responsable du plaisir que j'ai pris durant cette lecture, en me l'offrant.
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Laurent Loison est un auteur de presque 50 ans dont « Charade », son premier roman, est sorti en 2015.

L'auteur tente de suivre les traces des « auteurs professionnels » du Thriller glauque à la française (Thilliez, Chattam, Grangé) et l'on peut dire qu'il y réussit, mais pas pour les bonnes raisons.

Autant le dire tout de suite, je ne suis pas allé au bout de ma lecture bien que les critiques des lecteurs du roman soient dithyrambiques.

Aussi, je ne m'attarderai pas sur l'histoire, en elle-même, encore moins sur le dénouement final ou l'identité du meurtrier, que je ne connais pas.

Non, ma chronique se contentera de porter sur le premier quart du livre et sur les raisons qui m'ont poussé à abandonner ma lecture.

Charade : Il laisse derrière lui des cadavres de jeunes femmes atrocement torturées et de mystérieux messages. Ce cruel et terrifiant tueur en série est pourtant traqué par le meilleur flic du 36, le commissaire Florent Bargamont, et une brillante criminologue, Emmanuelle de Quezac. Un rythme effréné qui vous laissera le souffle court !

Vu les bonnes critiques sur le roman, je m'attendais à être happé par une intrigue haletante menée par des personnages si ce n'est, originaux, du moins, attachants. Je devrais probablement conclure que je n'attends plus d'un roman policier ce qu'en attendent la majeure partie des lecteurs.

Car, effectivement, la première chose qui m'a sauté aux yeux, outre le manque de style de l'auteur, mais c'est une critique que l'on peut faire à tous les gros vendeurs de livres qui formatent et lissent leur plume pour plaire au plus grand nombre, ce sont les clichés et les stéréotypes repris à foison pour définir les personnages principaux.

Alors, tout y passe :

– le héros, un flic taciturne, déprimé, alcoolique, d'une antipathie apparente cachant, probablement, un bon fond (je ne suis pas arrivé jusqu'à ce moment du livre, mais je me doute que cette révélation existe). Cassé, usé, détruit, par son métier qui consiste à analyser, comprendre et traquer les pires tueurs possibles, mais, cependant, d'une attirance animale, d'un charme envoûtant... (ajoutez tous les qualificatifs du genre que vous voudrez).

– La partenaire, une jeune femme belle et désirable (ba oui, faut pas déconner, ils n'embauchent pas de femmes laides dans la police dans les romans, les séries et les films), qui va, forcément, tomber amoureuse du héros et avoir pour ambition de l'aider à lutter contre ses démons, de le sauver (c'est beau, l'amour).

– La psychiatre (car, oui, tout le monde sait que le flic est torturé et alcoolique, alors, il faut savoir si, en plus, il peut être dangereux pour lui-même ou pour les autres, mais, en attendant, on lui laisse son travail de terrain et son flingue) qui n'obtient rien de son patient bourru, mais qui est plus occupée à fantasmer sur lui (ba ouais, le transfert, dans les romans, c'est l'inverse de la réalité, c'est la psy qui tombe amoureuse de son patient) et à imaginer ce que pourrait lui faire ce flic bourru et alcoolique, mais tellement craquant (bon, dans la vraie vie, une femme, quand elle est face à un mec bourru et alcoolique, elle se sauve... là, non !).

– le flic très con qui en veut au héros de son succès et qui fait tout pour lui mettre des bâtons dans les roues.

– le tueur super sadique (mais alors, très très sadique, à se demander s'il n'a pas été élevé par Charles Manson et allaité par Magdalena Solis [cf. Wikipédia pour ceux qui ne connaissent pas cette charmante dame] qui, en plus d'être sadique [mais alors, très très sadique], se révèle être très très joueur, également.

Vous mélangez ces personnages et vous obtenez le début de « Charade ».

Pour la fin, je ne saurais dire... On sait, dès le début, que le héros à vaincu, mais qu'il a du mal à s'en remettre et, je miserais une petite pièce pour dire que le tueur pourrait être, en fait, une tueuse [pourquoi pas la psy] ou, mieux, si on continue dans les clichés, le flic qui déteste le héros [une révélation que l'on trouve régulièrement dans les romans policiers]... ceux qui seront arrivés au bout de ce roman pourront confirmer ou infirmer mes suppositions.

Bref, ces clichés qui deviennent lassants tant ils sont usés jusqu'à la corde, auraient pu être compensés par un style original, se servir de stéréotypes à travers une plume innovante... mais non.

L'auteur se contente de copier les défauts de ses pairs sans apporter la moindre originalité (du moins, dans le premier quart... qui sait, peut-être que la révélation finale sauve l'ensemble du livre et que l'on apprend que le tueur en série est, en fait, le président de la République ou un extra-terrestre ou bien, encore, le héros, lui-même... non, ça, c'est du déjà vu.

Bref, rien de neuf dans le monde du polar et ce n'est pas avec « Charade » de Laurent Loison que cela changera.

Au final, une lecture déplaisante du fait des nombreux clichés qui défilent pire que des militaires le matin du 14 juillet. À quand des personnages originaux dans le monde du polar ?
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« Le savant avait tout perdu de sa folie. Il était devenu le clown blanc, l'auguste si chaleureux l'avait déserté. »


Mais qui est donc Laurent Loison ?

Une nouvelle plume au talent inouï. Plus que prometteur.
Le fils caché de Chattam et Thilliez. Rien de moins.
Loison n'a véritablement rien à envier aux grands noms du genre.

Le jeune auteur français nous offre donc un polar noir en guise de premier roman.
On pourrait craindre, de par ce statut prééminent, que Charade souffre d'erreurs ou de longueurs. Que nenni !


Rarement on aura connu intrigue aussi astucieuse, perverse.
Rarement on aura vécu suspens si haletant.
Rarement énigme aura été plus complexe, chiadée.
Rarement criminel se sera avéré retors et machiavélique à ce point.

C'est simple : ce roman policier se trouve être une pure réussite sur toute la ligne ! Tous les ingrédients nécessaires y sont réunis en un piquant et détonnant cocktail, un poison entêtant qui se déverse dans les veines jusqu'à vous laisser pantelant, à bout de souffle - Bref, n'ayons pas peur d'appeler un chat un chat [ > ceux qui l'ont lu comprendront le rappel ^^] : sur le c** !


« La charade pour un tout. le tout devenant cohérent dans une unité globale.
Le tueur n'était pas seulement un fou, mais un monstre calculateur puissant. »


Comme de nombreux lecteurs déjà, je demeure pantoise, médusée devant tant d'ingéniosité littéraire.
L'écrivain m'a estomaquée, ni plus ni moins.
De main de maître, il nous balade - j'ai presque envie de dire 'tranquillement' - de chausse-trappes en révélations, d'impasses en rebondissements, au gré de cadavres atrocement mutilés et de bouts de charade distillés avec une obscène parcimonie. Une ligne par crime, dans une inexorable spirale sanglante et mortifère, nous soumettant ainsi au paroxysme de la tension.
Et quand l'auteur daigne, à la toute fin du récit, éclairer enfin nos lanternes ; c'est bouche bée et empli d'un immense respect, qu'on referme ce petit joyau, en jurant tout de même de ne plus se faire avoir - mais priant par-devers soi pour l'inverse ! Car on ne peut qu'en redemander.


« Le tueur à la charade venait de se manifester après trois mois de silence.
Un seul mot. En lettres majuscules.
SOUFFRE ! »


Est-ce utile de préciser aux estomacs sensibles et fragiles de peut-être éviter cette lecture ? À moins de n'avoir pas froid aux yeux, je ne conseillerais pas...
Même si l'on relèvera de temps à autre, quelques notes d'un humour décalé mais appréciable, venu alléger les passages les plus noirs dont nous gratifie Mr Loison.

En revanche, à tous les adeptes : foncez ! Vous ne le regretterez pas.


> Si j'ai personnellement deviné rapidement l'identité du meurtrier à la charade - ce qui n'a en rien gâché mon plaisir, tant le cheminement tortueux maintenait à lui seul mon intérêt - , ce n'est apparemment pas le cas de tout l'monde.
Loin de moi l'idée de m'en vanter... ceci dit, je mets au défi d'y arriver tous ceux qui auront l'envie d'y plonger :)


> À venir : Cyanure, actuellement en bêta-lecture par quelques chanceux, dont je ne fais à mon grand dam, pas partie... N'empêche, j'ai hâte !


« Na zdarovié ! »
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
La pénombre enveloppait la pièce. Helena souffrait d’un mal de tête intense.
Vif, lancinant, persistant.
Elle voulut porter la main derrière sa nuque. Rien ne bougea. D’abord inquiète, elle réitéra sans plus de succès. Était-elle paralysée ?
Elle paniqua franchement.
Aucun mouvement possible. Ses poignets, ses chevilles étaient solidement ficelés et les entraves l’étreignaient avec la rigidité d’un barbelé.
Elle hurla. Pas un son ne franchit la barrière de ses lèvres.
Helena tenta alors de tousser. Même résultat… elle n’était plus maîtresse de son corps.
Un tube en plastique bloquait sa respiration et toute tentative d’appel au secours.
Elle tourna sa tête de gauche à droite. Rien.
Une sangle en cuir lui enserrait la tête.
Ses yeux, seule partie de son corps qu’elle pouvait encore contrôler, firent le tour de la pièce. De ce qu’elle pouvait en voir.
Elle essaya de sourire, de reprendre espoir.
Un ange la regardait. Elle n’eut plus peur, un instant.
Était-elle morte ?
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"La Grey Goose faisait son oeuvre avec une application maléfique.
Le verre se vida doucement et le fond apparut, affichant toute la cruauté de sa solitude.
L'impérieuse nécessité de le remplir fut exaucée machinalement. Florent, comme un automate ridicule, avait actionné ses membres et ses muscles agirent sans connaissance des incidences.
Le verre rempli, les réflexions de Florent perdirent en lucidité, en cohérence.
Le but recherché était atteint.
L'alcool puissant étanchait la douleur du coeur.
La vodka riante le transportait vers le champs des braves tombés au combat.
La chaleur incandescente annihilait de son impitoyable efficacité sa mémoire délétère. Florent avait quitté la pièce, le monde, les gens.
Son esprit flottait au-dessus des toits moussus, des immeubles crasseux et voguait en direction de la mer amère et de ses vagues meurtrières.
Carole le retrouverait.
Il le sentait.
Et l'espérait."
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La noirceur humaine ! Sujet inépuisable, abyssal. Les faits divers le nourrissent insatiablement. Les auteurs s'en inspirent (...).
Ainsi la littérature regorge de criminels et de monstres assoiffés de sang. Certains d'entre eux préfèrent martyriser leurs victimes psychologiquement au quotidien, et ce pendant des années.
Ceux-là défrayent moins la chronique, bien qu'ils soient plus nombreux.
(...)
La fiction dépasse-t'elle si souvent la réalité ? Nous souhaitons tous le croire. Cela nous aide à maintenir nos existences paisibles.
Cet adversaire est pourtant parmi nous, rôdant, furetant tel un oiseau de proie affamé.
Son simple et unique but : nous détruire, nous anéantir, nous dépecer.
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Emmanuelle regarda Loïc. Son acolyte, le visage défait, ne manifestait plus aucune émotion. Les yeux vidés, le visage exsangue, taris de tout sentiment humain.
Ressentait-il du dégoût ? Impossible de le percevoir.
De la révolte ? Simpliste et puéril.
Des envies de meurtre ? Compréhensible.
Elle voulut parler. Les mots restèrent coincés, quelque part dans sa gorge serrée.
Loïc la comprenait.
(...)
— Tu peux me croire. Cela cache quelque chose d’autre, affirma-t-elle. Rien de tout cela n’est cohérent. (...) J’ai étudié tous les putains de criminels en série que la planète a engendrés. Aucun, je te dis bien, aucun, n’a changé son mode opératoire de la sorte. Que les choses soient claires : JAMAIS ! Mais merde, ce malade est passé par tous les stades de l’ignominie.
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stupéfiant!, je pense que l'auteur a du faire beaucoup de recherches concernant les serial killer afin de rédiger son oeuvre. beaucoup de détails dans les crimes sordides et violents de ces victimes,bravo! ame sensible s'abstenir. je conseille vivement ce livre,l'épilogue concernant le pervers narcissique, description parfaite. D'ailleurs qui n'a jamais rencontrer ce type d'individu au cour de sa vie, je souhaite à cet auteur qu'il poursuive son écriture et hâte de découvrir son prochain livre
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