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Critique de Sallyrose


Un des grands classiques de l'auteur. Buck, chien domestiqué à 200 % dans une famille qui lui offre affection et confort, est enlevé et devient chien de traîneau dans les terres du Nord. Nous sommes au coeur de la Ruée vers l'or.

Le propos est de démontrer que les animaux domestiques portent en eux la mémoire de leurs origines sauvages. Buck le découvrira au cours de ses périples et répondra à l'appel de la forêt.
De belles pages sur la faune et la flore, le style évocateur nous plonge dans des territoires immenses et glacés.
Bien que le roman soit court, je me suis ennuyée car il n'est que la somme d'anecdotes sur la force et l'intelligence du chien. Au bout d'un moment, ça devient lassant.

Mise à jour du 18 mai 2020
J'ai relu ce titre dans le cadre du 1er club de lecture Babelio organisé en visio
Depuis ma dernière lecture, j'ai adopté un chien et cela est probablement à l'origine de nouvelles réflexions sur ce livre.
Même s'il y a beaucoup d'anthropomorphisme, il est indéniable que le chien a un caractère qui est parfois superposable à celui de l'homme et j'ai mieux compris l'importance de la retranscription des pensées de Buck même si elles sont très humaines.
Par ailleurs, j'ai été encore plus sensible à la violence et à la maltraitance animale que Jack London décrit presque avec un "c'est comme ça même si c'est regrettable".
Enfin, je peux admettre plus facilement cet instinct originel qui ramène Buck à la meute des loups ; mon chien répond aux sirènes en hurlant à la mort ce qui intrigue beaucoup...mais moi je sais...
Bref, il s'avère qu'avec un autre point de vue, j'ai ressenti les choses différemment et je me suis beaucoup moins ennuyée que la première fois !
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