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Critique de terryjil


Danseurs de lumière se lit vite et bien. L'histoire est plutôt belle, avec des références à 1984 ( les voix de la cellule) et Fahrenheit 451 ( l'interdiction des livres). Mais le diminutif de Tristan, Triss, me fait un peu trop penser à Kriss de Valnor, et j'ai passé le livre à visualiser une ado et pas un ado... le livre souffre aussi d'un peu de simplisme: le nom du gars le plus méchant, c'est Dork... Ah, avec un nom pareil, bien dur, qui s'apparente à dark en anglais, pas de danger qu'il révèle un peu de gentillesse, vous êtes prévenus! Et je n'ai pas du tout apprécié la fin, un peu trop vague à mon goût, j'ai même cru qu'il y avait une suite. Autant je comprends les zones d'ombre d'un récit qui ne se raconte pas du point de vue d'un narrateur omniscient (le destin du père de Triss, le langage ou la raison de la déliquescence de la civilisation méduséenne), et l'agaçante romance/non-romance entre Tristan et Loé, autant arrêter le récit là où Frédérique Lorient l'a stoppé me semble frustrant, voire aberrant.
Un livre distrayant et réflexif, voire même un peu poétique, mais loin de la maîtrise de la trilogie des tripodes, des Secrets d'Aramanth, de la saga Harry Potter ou des Royaumes du Nord...
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