Avec «
404 »,
Sabri Louatah explore les angles morts d'un roman national aux allures de palimpste. le levier techno-dystopique appâte le chaland.
Malgré des fulgurances qui font mouche, les scènes se suivent sans se regarder. La lame tirée du fourreau manque de tranchant.
Dommage !
Commenter  J’apprécie         30