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Critique de Sydola
David, écrivain à succès, qui vit en Vendée, voit son passé ressurgir lorsqu'il reçoit une enveloppe contenant un manuscrit qui relate un évènement vieux de 30 ans, évènement dans lequel il a eu un rôle clé. Son éditeur et un gendarme, en charge de l'enquête, reçoivent eux aussi une enveloppe similaire. Pourquoi cela resurgit-il 30 ans après ? Pourquoi à eux et qu'attend-on d'eux ?
Emportée dès le début par cette histoire sous fond de drame social, avec un patron qui va lutter contre la fermeture de son usine et des ouvriers pour qui cela est insuffisant et qui vont se laisser dominer par leur colère et commettre un acte irréfléchi.
Peu à peu, au fil de la lecture mon enthousiasme a nettement diminué en raison de certaines longueurs, de personnages qui n'apportent rien au roman et un final qui tombe à plat. Un peu comme quand on se dit "tout ça pour si ça..."
Ce roman, outre l'histoire qui s'est déroulé 30 ans auparavant, raconte l'histoire des grandes familles d'ouvriers dans les années 70, dont le patron savait remercier, encourager mais qui, situation économique, ne parviendra pas à sauver leur emploi.
Tout comme pour "Les Refuges", la fin m'a laissé comme une sensation de précipitation comme si l'auteur avait atteint son nombre de pages requis et j'ai eu comme un sentiment d'inachevé. Je pense donc m'arrêter dans la lecture des romans de cet auteur car il y a tant de livres à découvrir.
Lien : https://quandsylit.over-blog..
Emportée dès le début par cette histoire sous fond de drame social, avec un patron qui va lutter contre la fermeture de son usine et des ouvriers pour qui cela est insuffisant et qui vont se laisser dominer par leur colère et commettre un acte irréfléchi.
Peu à peu, au fil de la lecture mon enthousiasme a nettement diminué en raison de certaines longueurs, de personnages qui n'apportent rien au roman et un final qui tombe à plat. Un peu comme quand on se dit "tout ça pour si ça..."
Ce roman, outre l'histoire qui s'est déroulé 30 ans auparavant, raconte l'histoire des grandes familles d'ouvriers dans les années 70, dont le patron savait remercier, encourager mais qui, situation économique, ne parviendra pas à sauver leur emploi.
Tout comme pour "Les Refuges", la fin m'a laissé comme une sensation de précipitation comme si l'auteur avait atteint son nombre de pages requis et j'ai eu comme un sentiment d'inachevé. Je pense donc m'arrêter dans la lecture des romans de cet auteur car il y a tant de livres à découvrir.
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