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Critique de Amindara
Voilà un tome 3 qui vient conclure à la perfection (oserai-je dire) cette trilogie. Si le tome 2 m'avait laissé quelques appréhensions (rappelez-vous, je l'avais trouvé un peu long, pas forcément très captivant), le tome 3 remonte considérablement cette trilogie dans mon estime.
Nous continuons à suivre l'histoire d'Adelina. Elle est maintenant reine de Kenettra et traite ses sujets avec une certaine cruauté implacable. Son avis est qu'elle doit inspirer la peur aux gens si elle veut qu'ils lui obéissent. Elle se montre également une reine totalement injuste en choisissant de faire payer aux non-marqués toutes les souffrances qu'ont vécues les malfettos par leur faute. Elle se fiche d'ailleurs éperdument de savoir si tous les non-marqués sont à mettre dans le même sac ou non, elle se contente purement et simplement d'inverser la tendance.
Alors vous me direz, qu'est-ce qui fait que ce tome 3 soit si intéressant finalement ? C'est parce que cet aspect d'Adelina, quoique très présent tout au long du roman, n'est qu'une toute petite partie de l'histoire. Au fil des pages, nous la voyons évoluer, devenir de plus en plus paranoïaque, de plus en plus cruelle. Mais surtout, nous la voyons aussi lutter de plus en plus contre cet état de fait. Adelina n'est peut-être pas foncièrement méchante finalement ? Peut-être est-ce simplement son pouvoir qui la guide sur la mauvaise route ? Parce que quand il s'agit de s'allier avec les Dagues, ses ennemis, pour sauver le monde entier, elle n'hésite pas très longtemps (parce que oui, quand même, elle hésite un peu).
Ce tome 3 est à l'image du premier tome : les événements s'enchaînent assez rapidement. On entre assez vite dans le vif du sujet, dans ce qui nous intéresse le plus. L'autrice ne nous offre ici qu'assez peu de répit, entre la quête désespérée des Elites de sauver et la tourmente intérieure d'Adelina. Ca se lit vite, et bien. Je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, contrairement au tome 2.
Pour conclure, heureusement que ce tome 3 rattrape le coup, j'avais peur que cette trilogie me laisse sur le bas-côté !
Nous continuons à suivre l'histoire d'Adelina. Elle est maintenant reine de Kenettra et traite ses sujets avec une certaine cruauté implacable. Son avis est qu'elle doit inspirer la peur aux gens si elle veut qu'ils lui obéissent. Elle se montre également une reine totalement injuste en choisissant de faire payer aux non-marqués toutes les souffrances qu'ont vécues les malfettos par leur faute. Elle se fiche d'ailleurs éperdument de savoir si tous les non-marqués sont à mettre dans le même sac ou non, elle se contente purement et simplement d'inverser la tendance.
Alors vous me direz, qu'est-ce qui fait que ce tome 3 soit si intéressant finalement ? C'est parce que cet aspect d'Adelina, quoique très présent tout au long du roman, n'est qu'une toute petite partie de l'histoire. Au fil des pages, nous la voyons évoluer, devenir de plus en plus paranoïaque, de plus en plus cruelle. Mais surtout, nous la voyons aussi lutter de plus en plus contre cet état de fait. Adelina n'est peut-être pas foncièrement méchante finalement ? Peut-être est-ce simplement son pouvoir qui la guide sur la mauvaise route ? Parce que quand il s'agit de s'allier avec les Dagues, ses ennemis, pour sauver le monde entier, elle n'hésite pas très longtemps (parce que oui, quand même, elle hésite un peu).
Ce tome 3 est à l'image du premier tome : les événements s'enchaînent assez rapidement. On entre assez vite dans le vif du sujet, dans ce qui nous intéresse le plus. L'autrice ne nous offre ici qu'assez peu de répit, entre la quête désespérée des Elites de sauver et la tourmente intérieure d'Adelina. Ca se lit vite, et bien. Je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, contrairement au tome 2.
Pour conclure, heureusement que ce tome 3 rattrape le coup, j'avais peur que cette trilogie me laisse sur le bas-côté !
