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Critique de FleurDuBien
Tout d'abord merci à Babélio et à l'opération Masse Critique ainsi qu'aux éditions du Félin qui m'ont permis de découvrir ce petit livre fort intéressant.
En 1975, Michel Foucault lui-même se passionne pour le livre de Jean-Jacques Lubrina "L'enfer des pompiers".
Mazette ! Que fait un philosophe avec les pompiers !
Et bien de la philosophie bien sûr.
Car ce livre est avant tout une belle réflexion sur le métier des pompiers. Quel parcours !
L'auteur, né en 1942, devient pâtissier à 15 ans et pompier à 19 ans. Après cela, il retournera à la vie civile et fit une myriade de métiers comme concierge, cuisinier, veilleur de nuit et j'en passe. Il fut même chef d'un cabinet ministériel sous Mitterrand. C'est dire si le métier de pompier lui a déplu ! Et oui, je m'attendais à des descriptions dithyrambiques sur ce métier, que nenni !
C'est, j'avoue, ce qui m'a un peu déçue.
Même si l'on apprend des choses très intéressantes, notamment sur l'historique de ce métier.
Il n'a pas été "transporté" par son passage chez les pompiers, C'est le moins que l'on puisse dire !
Quelle déception ! Il n'a pas vraiment connu de missions passionnantes à part quelques tâches ingrates, son envie et désir de sauver des gens n'a pas été assouvie.
C'est avec une certaine désillusion qu'il nous offre ce témoignage et, on le sent bien, de la déception.
Déception que finalement j'ai partagée.
Un bien beau livre tout de même, très bien écrit, et avec des saillies humoristiques tout à fait à propos.
A lire pour les passionnés du genre.
En 1975, Michel Foucault lui-même se passionne pour le livre de Jean-Jacques Lubrina "L'enfer des pompiers".
Mazette ! Que fait un philosophe avec les pompiers !
Et bien de la philosophie bien sûr.
Car ce livre est avant tout une belle réflexion sur le métier des pompiers. Quel parcours !
L'auteur, né en 1942, devient pâtissier à 15 ans et pompier à 19 ans. Après cela, il retournera à la vie civile et fit une myriade de métiers comme concierge, cuisinier, veilleur de nuit et j'en passe. Il fut même chef d'un cabinet ministériel sous Mitterrand. C'est dire si le métier de pompier lui a déplu ! Et oui, je m'attendais à des descriptions dithyrambiques sur ce métier, que nenni !
C'est, j'avoue, ce qui m'a un peu déçue.
Même si l'on apprend des choses très intéressantes, notamment sur l'historique de ce métier.
Il n'a pas été "transporté" par son passage chez les pompiers, C'est le moins que l'on puisse dire !
Quelle déception ! Il n'a pas vraiment connu de missions passionnantes à part quelques tâches ingrates, son envie et désir de sauver des gens n'a pas été assouvie.
C'est avec une certaine désillusion qu'il nous offre ce témoignage et, on le sent bien, de la déception.
Déception que finalement j'ai partagée.
Un bien beau livre tout de même, très bien écrit, et avec des saillies humoristiques tout à fait à propos.
A lire pour les passionnés du genre.
