Lupano et Andreae ont réussi à créer un univers mêlant fantasy, fantastique, onirisme, surréalisme, très riche en inventions, en référence, jouant sur une infinité de tableaux, allant de
Lewis Carroll au steampunk, en passant par les paradoxes temporels et le récit de quête de fantasy. Les dialogues sont comme généralement chez
Lupano, drôles, baroque et pertinents. le graphisme est en traits fins et colorisation aquarellée, parfois un peu terne à mon goût, mais les inventions graphiques nous offrent un panel baroque, d'un kitsch fantastique assez délirant. Dans ce quatrième volet, on va faire un petit tour du côté de shéhérazade, les références sont multiples et le mélange est franchement jouissif.
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