Autant je n'aime pas le trait de Luz en règle générale, autant je le trouve en adéquation totale avec l'univers crasseux, underground et complètement addictif de
Virginie Despentes.
Au fil de la lecture apparait tout un tas de références rock qui donne envie de réécouter de bons classiques sur la platine, tout comme
Nick Hornby dans son fameux High fidelity. Une balade parisienne sordide aux personnages complexes aussi rebutants qu'attachants. Un cocktail explosif entre rage et désespoir, relents d'amours et violences du quotidien. Des personnages ô combien humains dont j'ai hâte de suivre les pérégrinations dans le tome 2 qui achèvera cette adaptation fabuleusement incarnée !
Commenter  J’apprécie         50