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Critique de psambou
Dans la famille recomposée, on a Danielle, sa mère et Charles, son beau-père et père de son frère Léo. A défaut de partir chez son père qui n'a pas le temps de s'occuper d'elle, Sarah se trouve contrainte de partir avec eux dans la maison de campagne de Charles. Sauf que dès l'arrivée, la famille croise un jeune prince perdu, et est attaquée par des créatures semblant sortir de cauchemars. Propulsés dans un monde qu'ils ne reconnaissent pas, le jeune prince les guide jusqu'à son royaume où ils sont acclamés comme des sauveteurs. Or bien vite, la famille se rend compte que le Prince Devil est manipulé par le malfaisant Lieutenant Laryn.
Alors oui, il y a de l'aventure, des rebondissements et de l'action, mais le dessin d'influence manga s'il correspond au genre donne une impression d'exécution vite fait qui ne s'encombre pas des détails. Des lignes de mouvement, un découpage jouant d'une pluralité d'arrangements de cases pour aller du plan rapproché au panoramique.
Mais des personnages stéréotypés qu'on se lasse de trouver toujours et encore, surtout en BD jeunesse : hasard que le peu sympathique lieutenant Laryn ait les traits nord-africains ? Que l'héroîne Shamane soit rousse aux yeux verts ? Et que Charles soit grand et blond ? Bref ....
Alors oui, il y a de l'aventure, des rebondissements et de l'action, mais le dessin d'influence manga s'il correspond au genre donne une impression d'exécution vite fait qui ne s'encombre pas des détails. Des lignes de mouvement, un découpage jouant d'une pluralité d'arrangements de cases pour aller du plan rapproché au panoramique.
Mais des personnages stéréotypés qu'on se lasse de trouver toujours et encore, surtout en BD jeunesse : hasard que le peu sympathique lieutenant Laryn ait les traits nord-africains ? Que l'héroîne Shamane soit rousse aux yeux verts ? Et que Charles soit grand et blond ? Bref ....
