”
Grace” nous amène vers des aspects jusqu'alors inconnus dans l'oeuvre de
Paul Lynch. L'intrigue, cette fois, est souvent grisement voilée par des espaces devenant de plus en plus réduits entre réalité et tous les songes, les rêves ou vies intérieures de
Grace lui permettant, dans la folie, d'échapper à l'horrible réalité de sa vie. Ce crescendo fantasmagorique provoque le vertige sans jamais perdre le lecteur. On est parfois dans l'univers gothique de “la mort au crépuscule” de Willam Gay tout en affirmant un espace bien personnel empreint des légendes irlandaises et celtiques.
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