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Critique de Shineyka
Ce commentaire que je laisse à propos de ce roman concerne aussi bien ce tome que les deux autres. Pour faire très simple, j'ai adoré. Habituellement, je n'apprécie pas vraiment les romans aussi fantaisistes où tout s'éloigne tant de la réalité que cela n'en paraît que risible. Mais là, l'auteure a fait un énorme travail en vue de nous faire croire à l'histoire qu'elle nous narre avec entrain et délicatesse. Tout ce qui arrive à Cassiopée est scientifiquement explicable - dans le roman entendons-nous bien - et cela me donne un sentiment de concordance avec la réalité qui me charme. J'ai immédiatement été épris d'un virulent sentiment d'admiration à l'égard de cette orpheline altruiste, téméraire, et follement amoureuse d'un homme dont l'étrangeté me fascine tout autant.
Pour tout vous dire, ce livre m'a sauvé la vie, au sens propre de l'expression. Je veux dire par là que j'ai lu ces trois tomes alors que je vivais une crise suicidaire particulièrement aiguë. Mais je ne voulais pas mourir avant d'avoir connu la fin de l'histoire. Et alors c'est comme cela que j'ai évité de commettre une énorme bêtise en mettant fin à mes jours. Et finalement, lorsque j'y réfléchis, parfois je me demande si les humains sont réellement la compagnie qui me manque pour me sentir heureux ? En réalité et après réflexion, je crois que les livres font de bien meilleurs et bien plus fidèles amis.
Je m'empresse de lire le Secret de Lomé, l'autre oeuvre que l'auteure a écrite qui, d'après le bref résumé que j'en ai lu sur Babelio, me semble tout aussi passionnante que cette trilogie. Cette dernière semble véritablement s'être gravée dans mon esprit à jamais. Elle m'a été salvatrice, et surtout, elle m'a appris à aimer, c'est-à-dire à en apprendre plus sur ces sentiments transcendants et extatiques qui des fois me transportent. Quand je lisais un passage qui me plaisait, à propos d'amour, ou qui m'évoquait quelque chose de fort, qui éveillait une partie de ma conscience par exemple, les battements de mon coeurs s'intensifiaient et je me sentais empli d'amour.
Et toutes ces émotions aussi abracadabrantes les unes que les autres, qu'ils s'agissent de celles que j'ai ressenties durant ma lecture tout comme celles que j'ai extériorisées sur les lignes que vous êtes présentement en train de lire, tous ces sentiments m'ont été insufflés par la simple présence d'un objet fait de papier, et qui tenait dans le creux de mes mains.
- SHDB
Pour tout vous dire, ce livre m'a sauvé la vie, au sens propre de l'expression. Je veux dire par là que j'ai lu ces trois tomes alors que je vivais une crise suicidaire particulièrement aiguë. Mais je ne voulais pas mourir avant d'avoir connu la fin de l'histoire. Et alors c'est comme cela que j'ai évité de commettre une énorme bêtise en mettant fin à mes jours. Et finalement, lorsque j'y réfléchis, parfois je me demande si les humains sont réellement la compagnie qui me manque pour me sentir heureux ? En réalité et après réflexion, je crois que les livres font de bien meilleurs et bien plus fidèles amis.
Je m'empresse de lire le Secret de Lomé, l'autre oeuvre que l'auteure a écrite qui, d'après le bref résumé que j'en ai lu sur Babelio, me semble tout aussi passionnante que cette trilogie. Cette dernière semble véritablement s'être gravée dans mon esprit à jamais. Elle m'a été salvatrice, et surtout, elle m'a appris à aimer, c'est-à-dire à en apprendre plus sur ces sentiments transcendants et extatiques qui des fois me transportent. Quand je lisais un passage qui me plaisait, à propos d'amour, ou qui m'évoquait quelque chose de fort, qui éveillait une partie de ma conscience par exemple, les battements de mon coeurs s'intensifiaient et je me sentais empli d'amour.
Et toutes ces émotions aussi abracadabrantes les unes que les autres, qu'ils s'agissent de celles que j'ai ressenties durant ma lecture tout comme celles que j'ai extériorisées sur les lignes que vous êtes présentement en train de lire, tous ces sentiments m'ont été insufflés par la simple présence d'un objet fait de papier, et qui tenait dans le creux de mes mains.
- SHDB
