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Critique de CVolland
C'est l'histoire d'une jeune Normande issu d'une famille pauvre, qui gravie un à un les échelons du noble métier de femme publique, courtisane ou péripatéticienne voir asphalteuse (rien à voire avec le BTP hein...).
C'est dans les meilleurs établissements de Londres qu'elle reçut une éducation qui lui permet aujourd'hui d'écrire ses mémoires.
De la nostalgie à tous les étages avec cette nouvelle de Pierre Mac Orlan.
D'abord la nostalgie de la langue de L'auteur, un style littéraire fleurie sachant manier les différents niveau de langues, utilisant l'argot et les jargons. On sent un travail de recherche derrière voir une réel pratique de ses idiomes de la part de l'auteur.
Nostalgie d'une fin du 18° début 19°. Une nostalgie qui ne fait pas vraiment rêver et qui nous plonges dans les endroits les plus glauques et sinistres. L'humain n'en sort pas grandi, mais c'est sur ce tas de fumier que se développe les plus belles plantes comme cette miss Fanny Hill.
Ce type de récit n'est pas sans faire penser à Blaise Cendrars. Nul doute que les amateurs du Suisse apprécieront Le Normand.
C'est dans les meilleurs établissements de Londres qu'elle reçut une éducation qui lui permet aujourd'hui d'écrire ses mémoires.
De la nostalgie à tous les étages avec cette nouvelle de Pierre Mac Orlan.
D'abord la nostalgie de la langue de L'auteur, un style littéraire fleurie sachant manier les différents niveau de langues, utilisant l'argot et les jargons. On sent un travail de recherche derrière voir une réel pratique de ses idiomes de la part de l'auteur.
Nostalgie d'une fin du 18° début 19°. Une nostalgie qui ne fait pas vraiment rêver et qui nous plonges dans les endroits les plus glauques et sinistres. L'humain n'en sort pas grandi, mais c'est sur ce tas de fumier que se développe les plus belles plantes comme cette miss Fanny Hill.
Ce type de récit n'est pas sans faire penser à Blaise Cendrars. Nul doute que les amateurs du Suisse apprécieront Le Normand.
