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Critique de Laehb80
Encore une lecture où je finis mitigée sur mon ressenti.
Je ne suis pas très friande de thriller psychologique / domestique mais celui ci avait tant de bons retours que je me suis laissée tenter. Malheureusement j'ai eu le même sentiment habituel : ça sonne faux. Oui, certaines personnes réussissent à avoir beaucoup d'emprise, à étouffer, à intoxiquer des caractères plus faibles, mais j'ai trouvé que cette possibilité était mal rendue, peu crédible et parfois ridicule. Donner des exemples serait divulgâcher donc je m'abstiendrai. Ce sentiment est renforcé par le peu d'attachement et d'empathie ressentis pour le personnage principal, Jocelyn, contrainte de retourner au manoir familial après le décès de son mari. J'ai surtout eu envie de la secouer et de lui exhorter d'avoir deux sous de jugeote. J'ai finalement été plus touchée par sa mère, Virginia, Lady Holt, pourtant endossant le costume de la méchante pimbêche présomptueuse. Quant au troisième narrateur, Andy le policier responsable de l'enquête, il est bien insipide. Seule son aversion pour l'establishment semble le faire avancer dans cette enquête qu'il ne mène pas vraiment.
Je me sens un peu sévère envers ce roman, je pense en fait que c'est tout ce sous-genre du thriller qui ne me plaît pas. Donc, si au contraire, vous aimez cette ambiance, vous devriez apprécier cette lecture.
Je ne suis pas très friande de thriller psychologique / domestique mais celui ci avait tant de bons retours que je me suis laissée tenter. Malheureusement j'ai eu le même sentiment habituel : ça sonne faux. Oui, certaines personnes réussissent à avoir beaucoup d'emprise, à étouffer, à intoxiquer des caractères plus faibles, mais j'ai trouvé que cette possibilité était mal rendue, peu crédible et parfois ridicule. Donner des exemples serait divulgâcher donc je m'abstiendrai. Ce sentiment est renforcé par le peu d'attachement et d'empathie ressentis pour le personnage principal, Jocelyn, contrainte de retourner au manoir familial après le décès de son mari. J'ai surtout eu envie de la secouer et de lui exhorter d'avoir deux sous de jugeote. J'ai finalement été plus touchée par sa mère, Virginia, Lady Holt, pourtant endossant le costume de la méchante pimbêche présomptueuse. Quant au troisième narrateur, Andy le policier responsable de l'enquête, il est bien insipide. Seule son aversion pour l'establishment semble le faire avancer dans cette enquête qu'il ne mène pas vraiment.
Je me sens un peu sévère envers ce roman, je pense en fait que c'est tout ce sous-genre du thriller qui ne me plaît pas. Donc, si au contraire, vous aimez cette ambiance, vous devriez apprécier cette lecture.
