Une heure plus tard, il régnait une atmosphère fébrile autour et à l’intérieur de la maison de Liv. Après avoir vu l’état dans lequel se trouvait la baraque, j’avais appelé du renfort et demandé – ordonné serait plus proche de la vérité – à Margaux et Adam de bien vouloir rentrer chez eux. C’était une scène de crime et les civils n’avaient rien à y faire, car d’une part, ça n’était pas leur place et d’autre part, il était hors de question qu’ils gênent mes hommes dans leur enquête ou qu’ils risquent de polluer les lieux, déjà qu’il était presque sûr que Margaux l’avait probablement fait.
Je me laissai tomber assis sur les marches du perron et pris ma tête entre mes mains. Que s’était-il passé depuis hier soir ? Quel enfoiré avait fait ça ?