C'est la descente d'un fleuve immense qui donne à Magris l'occasion de croiser histoire, littérature, géographie, philosophie. La première moitié du livre, où l'auteur est dans son jardin est sans doute meilleure que celle où il aborde l'Europe de l'Est. On sent une admiration pour le communisme, et je n'ai perçu aucune intuition relative au séisme qui a touché le bloc de l'Est 3 ans après l'écriture du livre. Ce livre nous ramène cependant au meilleur de nous même.
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