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Critique de Club_BD_Lannion
Club N°52 : Comics non sélectionné mais acheté sur le budget classique
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Récit prenant, parfois difficile à suivre en raison de multiples rebondissements qui nous perdent un peu.
Graphisme au top qui nous immerge dans un monde avec plusieurs réalités. lecture que je conseille vivement :)
David
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Un concept de réalité virtuelle intéressant dans une dystopie cyberpunk.
C'est prenant mais on regrettera que l'intrigue ne soit pas étalée sur une série plutôt que sur un one-shot, ça va un peu trop vite.
Mörx
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L'univers proposé par cet album est alléchant.
Un futur dystopique pas si lointain où, après une 3eme guerre mondiale très rapide, les États-Unis se retrouvent dans le camp des perdants (rare !).
Pour fuir la morne réalité chacun à la possibilité de superposer à sa vision un voile de son choix (western, médiéval, mots croisés, années 80, etc. ) qui change donc sa vision du monde et la rend plus supportable.
Collez là dessus un détective privé à l'ancienne qui doit faire face à ses démons et refuse d'user de subterfuges pour se voiler la face.
Il y a du potentiel !
Malgré ce pitch prometteur, je suis resté sur ma fin.
Déjà visuellement, c'est vraiment sympa mais je trouve que les extraordinaires possibilités visuelles offertes par les voiles de réalité sont vraiment sous exploitées.
Ils auraient vraiment pu/dû se lâcher, dommage.
Côté scénario, ce comics souffre d'un problème de rythme certainement dû à sa sortie en fascicule.
On sent le besoin impérieux de tenir le public en haleine au risque de faire des retournements de situations lourdingues et au final quand on met les éléments bout à bout tout ne tient pas la route.
Une lecture agréable mais qui aurait pu être beaucoup plus.
Gilles
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Clear, c'est Scott Snyder à l'écriture, et Scott a décidé de faire dans le néo-noire futuriste en mélangeant plein d'influences et d'idées.
Au visuel, Francis Manapul, vraiment joli avec des ambiances nocturnes fluo qui fonctionnent plutôt bien.
Ça commence comme un polar des plus classiques, un privé à moto, son ex-femme retrouvée morte, une femme fatale et au milieu de tout ça, ce monde que chacun recouvre de filtre.
Ça fait un peu penser à Strange Days dans les thèmes et ce monde pessimiste, Matrix pour cette réalité alternative et le classique deuil de l'enfant que l'on retrouve très souvent comme fil conducteur.
A vouloir trop en mettre, la BD souffre d'un rythme qui ne fonctionne pas avec l'ambiance et qui cherche à conclure bien trop rapidement avec moult renversements.
Dommage, il y a de la qualité, surtout au niveau des dessins, mais le scenario un peu fourre tout nuit un peu à l'ensemble.
Greg
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Récit prenant, parfois difficile à suivre en raison de multiples rebondissements qui nous perdent un peu.
Graphisme au top qui nous immerge dans un monde avec plusieurs réalités. lecture que je conseille vivement :)
David
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Un concept de réalité virtuelle intéressant dans une dystopie cyberpunk.
C'est prenant mais on regrettera que l'intrigue ne soit pas étalée sur une série plutôt que sur un one-shot, ça va un peu trop vite.
Mörx
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L'univers proposé par cet album est alléchant.
Un futur dystopique pas si lointain où, après une 3eme guerre mondiale très rapide, les États-Unis se retrouvent dans le camp des perdants (rare !).
Pour fuir la morne réalité chacun à la possibilité de superposer à sa vision un voile de son choix (western, médiéval, mots croisés, années 80, etc. ) qui change donc sa vision du monde et la rend plus supportable.
Collez là dessus un détective privé à l'ancienne qui doit faire face à ses démons et refuse d'user de subterfuges pour se voiler la face.
Il y a du potentiel !
Malgré ce pitch prometteur, je suis resté sur ma fin.
Déjà visuellement, c'est vraiment sympa mais je trouve que les extraordinaires possibilités visuelles offertes par les voiles de réalité sont vraiment sous exploitées.
Ils auraient vraiment pu/dû se lâcher, dommage.
Côté scénario, ce comics souffre d'un problème de rythme certainement dû à sa sortie en fascicule.
On sent le besoin impérieux de tenir le public en haleine au risque de faire des retournements de situations lourdingues et au final quand on met les éléments bout à bout tout ne tient pas la route.
Une lecture agréable mais qui aurait pu être beaucoup plus.
Gilles
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Clear, c'est Scott Snyder à l'écriture, et Scott a décidé de faire dans le néo-noire futuriste en mélangeant plein d'influences et d'idées.
Au visuel, Francis Manapul, vraiment joli avec des ambiances nocturnes fluo qui fonctionnent plutôt bien.
Ça commence comme un polar des plus classiques, un privé à moto, son ex-femme retrouvée morte, une femme fatale et au milieu de tout ça, ce monde que chacun recouvre de filtre.
Ça fait un peu penser à Strange Days dans les thèmes et ce monde pessimiste, Matrix pour cette réalité alternative et le classique deuil de l'enfant que l'on retrouve très souvent comme fil conducteur.
A vouloir trop en mettre, la BD souffre d'un rythme qui ne fonctionne pas avec l'ambiance et qui cherche à conclure bien trop rapidement avec moult renversements.
Dommage, il y a de la qualité, surtout au niveau des dessins, mais le scenario un peu fourre tout nuit un peu à l'ensemble.
Greg
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Lien : https://mediatheque.lannion...
