« C'est con », ça aurait pu être une lecture de vacances, vous savez celle des romances aussi vite lues, aussi vite oubliées, mais qui ne sont pas désagréables car on se laisse porter par une histoire. Il y a dans «
La délicatesse du homard » tous les ingrédients pour cela : intrigue dans le Finistère, des chevaux, une rencontre improbable, une histoire d'amour, un secret de famille… Mais le style…avec la formule par laquelle je commence cette critique qui revient sans cesse, est assez pénible, plat.
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