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Critique de pupucing
Tanger, 1956.
Alice Shipley y vit avec John, son mari depuis un an, elle ne sort que très rarement de leur appartement, autant lui s'y plaît, limite plus tangétans que les autochtones, elle, elle n'y arrive pas, peut-être à cause de la chaleur, de la violence sous-jacente, du monde qui grouille partout ?
Quand Lucy, son ancienne coloc de fac débarque, Alice retrouve un regain d'énergie, même si elle n'a aucun souvenir de l'avoir invitée, même si dans ses lointains souvenirs, tout n'était pas si rose entre elles.
Ce qui fait le plus plaisir à Alice, c'est l'animosité qui existe entre Lucy et John, mais peu à peu, Alice se sent étouffée, mal à l aise avec son amie, comme si Lucy, à l'instar de Tanger, l'étouffait....
Premier roman de Christine Mangon, Tangerine est un roman à ambiance, il pose ses marques tranquillement, à son rythme, le rythme lent des villes méditerranéennes.
Les chapitres oscillent entre les voix de Lucy et Alice, entre présent et passé, ce qui contribue à cette lenteur, nécessaire à l'histoire, nécessaire cette sensation d'écrasement, d'étouffement.
On se doute qu'il y a un passé compliqué entre ces deux femmes, l'une riche orpheline, l'autre plus pauvre, sûrement la dernière et seule fille d'une immense fratrie.... Pourtant, comme les contraires s'attirent, très vite elles ding devenues amies, mais au fil des pages, les souvenirs reviennent et parfois, ils font mal t, très mal.
Un roman machiavélique, vraiment bien ficelé, même si on s'attend au fin mot de l'histoire, on se laisse embarquer dans cette ville, qui est également un personnage à part entière.
Alice Shipley y vit avec John, son mari depuis un an, elle ne sort que très rarement de leur appartement, autant lui s'y plaît, limite plus tangétans que les autochtones, elle, elle n'y arrive pas, peut-être à cause de la chaleur, de la violence sous-jacente, du monde qui grouille partout ?
Quand Lucy, son ancienne coloc de fac débarque, Alice retrouve un regain d'énergie, même si elle n'a aucun souvenir de l'avoir invitée, même si dans ses lointains souvenirs, tout n'était pas si rose entre elles.
Ce qui fait le plus plaisir à Alice, c'est l'animosité qui existe entre Lucy et John, mais peu à peu, Alice se sent étouffée, mal à l aise avec son amie, comme si Lucy, à l'instar de Tanger, l'étouffait....
Premier roman de Christine Mangon, Tangerine est un roman à ambiance, il pose ses marques tranquillement, à son rythme, le rythme lent des villes méditerranéennes.
Les chapitres oscillent entre les voix de Lucy et Alice, entre présent et passé, ce qui contribue à cette lenteur, nécessaire à l'histoire, nécessaire cette sensation d'écrasement, d'étouffement.
On se doute qu'il y a un passé compliqué entre ces deux femmes, l'une riche orpheline, l'autre plus pauvre, sûrement la dernière et seule fille d'une immense fratrie.... Pourtant, comme les contraires s'attirent, très vite elles ding devenues amies, mais au fil des pages, les souvenirs reviennent et parfois, ils font mal t, très mal.
Un roman machiavélique, vraiment bien ficelé, même si on s'attend au fin mot de l'histoire, on se laisse embarquer dans cette ville, qui est également un personnage à part entière.
