Déçu par ce deuxième opus mettant en scène Yeruldegger, le commissaire mongol. Une histoire alambiquée mais sans grand intérêt ; ce qui faisait le charme du premier volume a un peu disparu : à multiplier les rebondissements,
Ian Manook oblige le lecteur à échapper à la psychologie des personnages, ici juste effleurée et qui était si originale dans les premières aventures. La Mongolie et ses traditions "magiques" restent au second plan. A mon goût, un vrai ratage.
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