Nasim Marashi veut continuer à écrire en persan, depuis l'Iran, alors elle se plie à la censure. de ce fait, ses héroïnes semblent étrangement libres, simplement limitées par leurs propres désirs et leur incapacité à se décider. Vu le contexte actuel, il est difficile à comprendre que l'éditeur n'ait pas ajouté une note ou une préface pour contextualiser ce roman, justifier le flou du pays en arrière-plan, l'absence totale d'évocation des répressions (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/01/28/lautomne-est-la-derniere-saison-nasim-marashi/)
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