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Critique de Stephdis
C'est officiel, les deux loustiques de la rue Paradis sont mes chouchous de cette fin d'année 2023 !
J'ai été emportée par leur rivalité totalement immature et hilarante. Des coups et des attaques dignes d'une cour de récréation. Un humour que j'adore et approuve totalement.
MAIS (bien évidemment qu'il y a un «mais» vous pensiez quoi, c'est du Marie HJ quand même). Je disais donc… Mais, derrière cette opposition entre Grégoire et Baptiste. Derrière ce statut de rivaux qui est de notoriété publique. Derrière cette aigreur se cachent bien des choses.
Ces querelles ne sont que l'illusion d'une quelconque maîtrise. Une maîtrise des désirs, une perception déformée de ce qu'ils représentent l'un pour l'autre. L'important étant de maintenir un lien, quel qu'il soit pour autant que l'ignorance ne prenne surtout pas le dessus.
Piégés dans une guerre presque aussi vieille qu'eux, Grégoire et Baptiste se balancent des crasses à longueur de journée et ce depuis près de 15 ans. Enlisés dans ces perpétuelles altercations, ils ne savent plus comment vivre sans. Cette habitude étant devenue un vieux réflexe. Un réflexe de défense ou peut-être de survie.
Ce que j'ai trouvé très drôle et à la fois très touchant, c'est qu'ils soient les seuls à pouvoir tirer dans les pattes de l'autre. Si par malheur une tierce personne venait à s'attaquer à l'un d'entre eux, alors l'autre monterait au créneau pour le défendre corps et âme.
Petit coup de coeur pour Grégoire qui refoule énormément de choses. Grégoire, ses doutes et ses peurs qui ont touché mon petit coeur. Grégoire, pris au piège par sa conscience.
Un désir interdit.
Des sentiments ensevelis.
Des attaques puériles.
Un slow burn séduisant.
Et une foule d'émotions.
Voici ce que l'auteure propose dans ce roman tiré tout droit de la gazette de la rue Paradis.
Je ne peux que vous conseiller cette lecture !
J'ai été emportée par leur rivalité totalement immature et hilarante. Des coups et des attaques dignes d'une cour de récréation. Un humour que j'adore et approuve totalement.
MAIS (bien évidemment qu'il y a un «mais» vous pensiez quoi, c'est du Marie HJ quand même). Je disais donc… Mais, derrière cette opposition entre Grégoire et Baptiste. Derrière ce statut de rivaux qui est de notoriété publique. Derrière cette aigreur se cachent bien des choses.
Ces querelles ne sont que l'illusion d'une quelconque maîtrise. Une maîtrise des désirs, une perception déformée de ce qu'ils représentent l'un pour l'autre. L'important étant de maintenir un lien, quel qu'il soit pour autant que l'ignorance ne prenne surtout pas le dessus.
Piégés dans une guerre presque aussi vieille qu'eux, Grégoire et Baptiste se balancent des crasses à longueur de journée et ce depuis près de 15 ans. Enlisés dans ces perpétuelles altercations, ils ne savent plus comment vivre sans. Cette habitude étant devenue un vieux réflexe. Un réflexe de défense ou peut-être de survie.
Ce que j'ai trouvé très drôle et à la fois très touchant, c'est qu'ils soient les seuls à pouvoir tirer dans les pattes de l'autre. Si par malheur une tierce personne venait à s'attaquer à l'un d'entre eux, alors l'autre monterait au créneau pour le défendre corps et âme.
Petit coup de coeur pour Grégoire qui refoule énormément de choses. Grégoire, ses doutes et ses peurs qui ont touché mon petit coeur. Grégoire, pris au piège par sa conscience.
Un désir interdit.
Des sentiments ensevelis.
Des attaques puériles.
Un slow burn séduisant.
Et une foule d'émotions.
Voici ce que l'auteure propose dans ce roman tiré tout droit de la gazette de la rue Paradis.
Je ne peux que vous conseiller cette lecture !
