Bernard Maris me manque ! Il me manque pour lui, pour sa vision de l'économie. Il nous reste bien
Frédéric Lordon, mais ce n'est pas pareil.
Il me manque pour son humour, sons sens du dialogue et celui du débat.
Un jour, j'ai découvert cet homme avec ce livre : l'
anti-manuel d'économie (1 et 2). Et moi tout à coup, "l'ingénieur en informatique jésuite", de découvrir l'économie, de m'intéresser à l'économie et de comprendre les enjeux humanistes qui se cachent derrière la pensée unique de l'économie officielle, celle du néo-libéralisme.
Bernard Maris m'a éveillé à ce monde.
Il faudra que je parle aussi de Chomsky, le politologue !
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