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Critique de SylvieBelgrandReims


Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi, alors que vous aimez profondément les membres de votre famille, vous étouffez parfois lorsque tout ce petit monde est réuni ?
Moi, oui. Et apparemment, Benjamin Markovits aussi. Mais lui est un écrivain talentueux et cette réunion de famille à New-York devient un petit bijou littéraire sous sa plume.
Il raconte le quotidien, les chamailleries, les maladresses, avec beaucoup de finesse et finalement, c'est souvent drôle.
Markovits met tant d'intelligence, d'indulgence et de tendresse à raconter ce qui peut blesser qu'on se surprend à vous dire : mais oui, c'est exactement ça !
Et puis New-York, Central Parc, en toile de fond, pour un petit côté cinématographique très agréable.
À lire si vous aimez les chroniques de vie douces amères.
À lire si vous aimez Woody Allen.

#WeekEndANewYork #BejaminMarkovits #EditionsChristianBourgois #lecture #livres #chroniques

Le quatrième de couverture :

Paul Essinger, joueur de tennis professionnel, est qualifié à l'US Open. Comme pour chaque tournoi, sa famille se réunit à New York pour l'encourager. Ses parents, son frère, ses soeurs et ses neveux arrivent du Texas, de Harvard ou encore d'Angleterre. Aux yeux de Dana, l'épouse de Paul, la tribu Essinger paraît très brillante et soudée, voire inaccessible tant elle compose un tableau idéal. Pourtant, chacun d'eux va vivre cette nouvelle épreuve avec des ambitions et des aspirations différentes. Révélations qui tournent court, légers accrocs et désaccords majeurs rythment ce week-end décisif.

À travers une écriture vive et nerveuse, Benjamin Markovits capture toute la complexité des familles (apparemment) heureuses.
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