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Critique de OREILLYS
Témoignage d'une aventure de 3 mois sur les terres aborigènes d'Australie.
L'auteure partage avec nous ses ressentis, son vécu, à travers un isolement extrême. J'aime son avant-propos, rappelant que l'homme est en recherche permanente d'une chose précieuse qu'il est incapable de voir car elle est cachée profondément en lui.
Elle renvoie également à la notion de "synchronicity" qui pour moi nous ramène à cet "instinct", cette chose en nous qui nous parle, mais que nous avons appris à ne plus écouter. La nature communique et nous ne savons plus écouter ses signaux.
La faim sera l'un des plus gros challenge de cette aventure. Manger non plus par réflexe, mais comme but de survie.
Ce n'est pas un récit d'aventure, mais une invitation à la réflexion.
L'auteure partage avec nous ses ressentis, son vécu, à travers un isolement extrême. J'aime son avant-propos, rappelant que l'homme est en recherche permanente d'une chose précieuse qu'il est incapable de voir car elle est cachée profondément en lui.
Elle renvoie également à la notion de "synchronicity" qui pour moi nous ramène à cet "instinct", cette chose en nous qui nous parle, mais que nous avons appris à ne plus écouter. La nature communique et nous ne savons plus écouter ses signaux.
La faim sera l'un des plus gros challenge de cette aventure. Manger non plus par réflexe, mais comme but de survie.
Ce n'est pas un récit d'aventure, mais une invitation à la réflexion.
