Citations sur Le Trône de fer, tome 14 : Les dragons de Meereen (109)
Ses nuits étaient éclairées par des étoiles lointaines et le reflet du clair de lune sur la neige, mais à chaque aube elle s’éveillait aux ténèbres.
Le feu est chose capricieuse. Personne ne peut prévoir dans quel sens ira une flamme.
Quand on a connu le baiser d'un couteau d'écorcheur, le rire perd toute capacité à blesser.
La lune formait un croissant, fin et tranchant comme une lame de couteau. Un soleil blafard se leva, se coucha pour se lever encore. Des feuillages rouges chuchotèrent au vent Des nuages sombres emplirent les cieux pour se changer en orages.L’éclair fulgura et le tonnerre gronda, et des morts aux mains noires et aux yeux d'un bleu lumineux rodaient autour d'une faille au flanc de la colline, sans pouvoir entrer.
Certains alliés sont plus dangereux que des ennemis.
- Et moi qui avait entendu raconter qu'un Lannister payait toujours ses dettes.
- Oh, jusqu'au dernier sol...Mais jamais un liard de plus, messire. Vous obtiendrez le repas que vous guignez, mais ne comptez pas sur une sauce de gratitude et, au final, il ne vous nourrira pas.
Ils se battaient dans le crépuscule qui précède l'aube, ombre contre ombre, trébuchant sur des racines et des pierres, avec sous leurs pieds, la boue et un humus de feuilles en décomposition.
Les loutres seraient peut-être plus aisées à gouverner que les hommes, je te l'accorde. Et les phoques sont plus intelligents.
C'était une leçon que Mélisandre avait apprise bien avant Asshaï; moins la sorcellerie semble requérir d'efforts, et plus les hommes redoutent le sorcier.
Des feuillages rouges chuchotèrent au vent. Des nuages sombres emplirent les cieux pour se changer en orage