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Critique de zazaone
Fin hier soir, 00:53 au réveil.
Première réaction : MAIS POURQUOOOOOOOOOOOIIIII !
Je ne sais le pire dans ce livre. Est-ce l'envie de le dévorer alors qu'on sait pertinemment, au bout de 15 tomes (en français) que Martin va tailler dans le vif du casting, tuant sans aucun doute possible un de nos persos préférés ? Il dévoile par ses entourloupes littéro-meurtrières notre côté le plus masochiste. C'est horriblement superbe, ça fait mal de perdre ainsi des persos auxquels on s'est attaché, mais on lit quand même. Y'a pas à dire, faut aimer souffrir.
Ou est-ce la peur de finir sans obtenir toutes les réponses à nos questions existentielles ? Existentiel pas pour nous, mais pour l'existence de nos persos. Daenerys va-t-elle survivre à ses trois barbecues bipèdes et tout autant ailés que zélés à cramer tout ce qui passe à leur portée ? Cirsei à son enfermement ? Tyrion à l'abandon de son nez ?
Et bien non. Il faut regarder la vérité en face : nous, lecteurs du Trône de fer, sommes maso et repartons avec encore plus de questions et d'attente à la fin de ce tome. Pire, nous aimons ça !
Quel maestria ! Que de retournements, d'acharnements, de surprises ! Quel plaisir de voir évoluer des personnages qui paraissaient pourtant bien secondaires, au premier plan de l'intrigue. Presque chaque chapitre contient un cliffhanger et les trois derniers sont bien entendu, les pires... ou les mieux.
Donc, si vous avez envie de vous retrouver comme moi, la bouche grande ouverte sur un cri muet, à 1 h du matin, n'hésitez pas, jetez vous sans modération sur le livre.
Première réaction : MAIS POURQUOOOOOOOOOOOIIIII !
Je ne sais le pire dans ce livre. Est-ce l'envie de le dévorer alors qu'on sait pertinemment, au bout de 15 tomes (en français) que Martin va tailler dans le vif du casting, tuant sans aucun doute possible un de nos persos préférés ? Il dévoile par ses entourloupes littéro-meurtrières notre côté le plus masochiste. C'est horriblement superbe, ça fait mal de perdre ainsi des persos auxquels on s'est attaché, mais on lit quand même. Y'a pas à dire, faut aimer souffrir.
Ou est-ce la peur de finir sans obtenir toutes les réponses à nos questions existentielles ? Existentiel pas pour nous, mais pour l'existence de nos persos. Daenerys va-t-elle survivre à ses trois barbecues bipèdes et tout autant ailés que zélés à cramer tout ce qui passe à leur portée ? Cirsei à son enfermement ? Tyrion à l'abandon de son nez ?
Et bien non. Il faut regarder la vérité en face : nous, lecteurs du Trône de fer, sommes maso et repartons avec encore plus de questions et d'attente à la fin de ce tome. Pire, nous aimons ça !
Quel maestria ! Que de retournements, d'acharnements, de surprises ! Quel plaisir de voir évoluer des personnages qui paraissaient pourtant bien secondaires, au premier plan de l'intrigue. Presque chaque chapitre contient un cliffhanger et les trois derniers sont bien entendu, les pires... ou les mieux.
Donc, si vous avez envie de vous retrouver comme moi, la bouche grande ouverte sur un cri muet, à 1 h du matin, n'hésitez pas, jetez vous sans modération sur le livre.
