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Critique de DawnG


DawnG
07 février 2013
Cette fois-ci, les exemples choisis mettent en relief toute l'horreur de la situation que vivent les « désignés » et notamment par le fait de voir comment réagissent certaines familles.
Ceci est très fort dans la première histoire « Chute libre », où une politicienne cherchant à être élue au Conseil (elle a perdu les élections 4 ans plus tôt) base sa campagne sur le renforcement de la loi de sauvegarde de la prospérité nationale. Elle a repoussé son unique fils pas très bon à l'école parce qu'il pouvait nuire à sa carrière. Il reçoit l'Ikigami et elle lui demande de la soutenir, elle ne voit qu'une opportunité de publicité positive pour sa campagne. Comment va réagir ce fils? En parallèle, la psychologue qu'à rencontrer Fujimoto dans le tome précédent vient travailler dans la mairie, une annexe du Centre y est ouverte pour faciliter certaines démarches. le supérieur de Fujimoto lui avoue certaines choses.

Dans la seconde histoire « le plus pieux des mensonges », Fujimoto sera amener à aider le frère d'une personne ayant reçu l'Ikigami, alors qu'il n'a pas le droit de prendre d'initiative et doit rester détaché des cas traités. L'histoire tourne autour d'une jeune fille aveugle qui doit recevoir un don de corné. Mais l'attente est longue. Quand son frère reçoit l'Ikigami, il décide que ce sera lui le donneur mais ne peut en parler à sa soeur, convaincu qu'elle refusera ce geste.

Au fur et à mesure des histoires, on découvre une multitude de façon différente de réagir face à la mort prochaine. La première histoire m'a mise hors de moi ! J'aurai aimé secouer cette mère qui est égoïste et ne se rend même pas compte que son fils va mourir. Dans la deuxième histoire, j'ai été très touchée par le message d'espoir donné, tellement mise en relief par l'horreur de la situation. J'ai préféré ce tome au précédent.
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