C'est encore dans un hommage à
Lovecraft que
Graham Masterton nous entraîne avec ce récit. Il faudrait peut-être que j'en lise un peu plus de cet auteur, dont je n'ai fait qu'effleurer l'oeuvre avec deux ou trois titres.
L'humour décapant de l'auteur fait mouche, une nouvelle fois, comme pour adoucir les passages les plus horribles qu'il nous concocte.
En Enfer, il y a le feu, certes, mais en l'occurrence, on va le trouver bien humide, ce feu, puisque l'ennemi, c'est l'eau. En effet, des parasites empoisonnent l'eau d'un puits et les victimes vont connaître toutes les abominations possibles et imaginables avant de mourir dans d'atroces souffrances.
Au menu donc, un feel good à la sauce
Masterton (non, je blague, je ne lis pas de feel good mais ça ne doit pas être trop ressemblant).
Bonne lecture, et restez bien au sec.
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