Citations sur November, tome 1 : Killing November (37)
Règle numéro un : ta vie à l’extérieur de ces murs devra rester un secret. Tu n’en parleras à personne, et tu n’écriras rien à son sujet. Tu ne dévoileras ni ton nom de famille, ni l’identité de tes proches, ni la ville d’où tu viens. Si tu brises cette règle, tu ne mettras pas seulement ta vie en danger, mais aussi celle de ceux qui te sont chers.
Tu continues à faire confiance à ceux qui vont vers toi alors que tu te fais attaquer chaque fois que tu as le dos tourné. Je ne comprends pas très bien comment tu fonctionnes, mais je trouve ça très beau.
En y regardant de plus près, l'histoire n'est pas linéaire ; c'est un tissu d'événements interdépendants qui s'entraînent les uns les autres.
Régle numéro un : ta vie à l'extérieur de ces mur devra rester un secret. Tu n'en parlera à personne, et tu n'ecrira rien à son sujet. Tu ne devoieras ni ton nom de famille, ni l'identité de tes proches, ni la ville d'où tu viens. Si tu brise cette règle, tu ne mettra pas seulement ta vie en danger, mais aussi celle de ceux qui te sont chers.
Régle numéro deux : il est interdit de quitter l'enceinte de l'académie, poursuit Mrs Blackwood. Cette institution est située au cœur d'une forêt parsemé d'obstacles et de pièges. En franchir les murs ne serai pas seulement stupide, mais extrêmement périlleux.
Régle numéro trois : ici, un élève qui s'en prend à un autre et sanctionné par la loi du talion. Œil pour œil, dent pour dent. Les seuls confrontations que nous tolérons sont celles qui ont lieu dans le cadre des cours, sous le contrôle des professeurs.
"Quelle charmante famille, dont les membres passent leur temps à s'entre-tuer..."
"Un jour, Emily m'a dit qu'on pouvait être assommée par un baiser. Jusqu'à ce moment, je n'avais pas imaginé cela possible. Je suis submergée par un océan d'émotions, comme si un barrage dont j'ignorais l'existence venait de se rompre."
"Dans bien des cas, ce n'est pas la situation qui est bloquée, mais la façon dont les gens l'envisagent. Ce qui nous amène à la nécessité d'écarter nos préjugés afin de poser un regard neuf sur les faits. Ne jamais rien considérer comme un élément immuable. Se convaincre que rien n'est écrit à l'avance."
"_Comme l'a dit Paracelse, philosophe et médecin du XVIe siècle, "tout est poison, rien n'est poison : c'est la dose qui fait le poison". Ce que nous apprenons de cette admirable citation, c'est que les oisons sont présents partout dans l'environnement. Certains peuvent avoir des effets bénéfiques à faible dose, et se révéler mortels à forte dose. Et je ne parle pas seulement de substances. Dépassons le cadre de la chimie, si vous le voulez bien, et penchons-nous qur les armes qui, si l'on sait en faire usage, sont les plus redoutables de toutes : les poisons émotionnel et psychologique. Si la victime reçoit l'un et l'autre à la dose idéale, la mort survient tôt ou tard, sans laisser le moindre indice matériel. Ces stratégies sont difficiles à détecter. Il convient d'être attentif aux éléments les plus subtils."
"Comme nous l'avons vu, pour identifier un mensonge, il ne faut pas seulement être capable de lire les signes, mais aussi d'analyser la personnalité de la cible. Un bon menteur vous fera toujours entendre un mensonge lorsqu'il dit la vérité, et la vérité lorsqu'il vous manipule."
"_Il est facile de manipuler les esprits, de convaincre les gens de croire ou de ne pas croire qu'un événement n'est qu'une coïncidence, explique Aarya.
_Peux-tu être plus précise ?
_Si on insiste sur le caractère étrange d'un fait, les gens s'y attacheront. Ils se pencheront sur les détails les plus croustillants et broderont dessus à l'infini. Si au contraire on le remet en doute, il restera toujours sujet à caution, qu'il soir réel ou non."