>
Critique de GoodBooksGoodFriends
Ca a commencé par "Allez juste un chapitre et dodo" qui s'est transformé en "Bon nous voilà à 100 pages et il faut se lever demain..." et le reste de ma lecture a été à l'avenant.
Hélène approche de la quarantaine, elle est revenue vivre dans sa région d'origine. Christophe se retrouve à regarder plus souvent son passé que son avenir. Dans un contexte électoral fébrile, celui de 2017, chacun va se confronter à ses attentes, à ses désillusions et à ses nouvelles espérances.
Comme dans Leurs enfants après eux, dont j'avais écouté la version audio, Nicolas Mathieu excelle à faire remonter des souvenirs, des images alors même que je n'ai jamais mis les pieds dans les Vosges et que je viens du Sud (𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝘩𝑒𝑚𝑖𝑛𝑠, 𝑗'𝑦 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑠, deux chansons en tête pour le prix d'une, ne me remerciez pas, c'est cadeau).
Il y a comme un parfum d'universalité tellement le propos sonne juste.
Dans ce roman social, pas de scènes dramatiques qui font couler les larmes à foison, mais une peinture réaliste, authentique, qui m'a fait entrer en empathie avec Hélène et Christophe, tantôt l'un et tantôt l'autre.
Hélène approche de la quarantaine, elle est revenue vivre dans sa région d'origine. Christophe se retrouve à regarder plus souvent son passé que son avenir. Dans un contexte électoral fébrile, celui de 2017, chacun va se confronter à ses attentes, à ses désillusions et à ses nouvelles espérances.
Comme dans Leurs enfants après eux, dont j'avais écouté la version audio, Nicolas Mathieu excelle à faire remonter des souvenirs, des images alors même que je n'ai jamais mis les pieds dans les Vosges et que je viens du Sud (𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝘩𝑒𝑚𝑖𝑛𝑠, 𝑗'𝑦 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑠, deux chansons en tête pour le prix d'une, ne me remerciez pas, c'est cadeau).
Il y a comme un parfum d'universalité tellement le propos sonne juste.
Dans ce roman social, pas de scènes dramatiques qui font couler les larmes à foison, mais une peinture réaliste, authentique, qui m'a fait entrer en empathie avec Hélène et Christophe, tantôt l'un et tantôt l'autre.
