Après avoir fait les feux de l'actualité, il me paraissait important de lire avant d'opiner. Une boîte à lire a fait le reste, je n'allais pas non plus dépenser le moindre sou pour cet individu (aïe! je sens un a priori négatif se glisser en moi). Je n'avais pas tellement apprécié
Christine Angot mais le récit du bourreau n'est pas mieux que celui de la victime.
On nage en pleine apologie! Ainsi, on peine à comprendre comment les années ont passé sans que personne ne bronche pour dénoncer le
David Hamilton des mots.
Au nom de la ''littérature'' ? Attendez! laissez-moi revenir à la définition du mot littérature, j'ai un trou de mémoire soudainement...
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